dimanche 25 septembre 2011

le secours du discour

Ce blog m'est d'un grand secours. En m'offrant la possibilité de m'exprimer clairement, sans ambages, sur mes angoisses concernant mon fils. Angoisses reconnues et justifiées par les décisions de justices, mais faire cesser le lavage de cerveau que subit mon fils sur son pays et son père revient à prendre des mesures drastiques sur une mère.
Nous sommes dans la prudence, factuellement l'enfant doit être mis hors d'atteinte de ses tourmenteurs, pratiquement est-ce que le remède ne présente pas des risques ?
Je pense que le "moindre mal", puisqu'il faut bien admettre cette expression relative, est de rendre Adrien à son univers initial.
La culture du Macdo et des bonnes qu'ont lui propose au Maroc ne présente pas les garanties pour l'avenir. D'ailleurs le Maroc est une terre d'émigration, dès qu'ils le peuvent, les marocains quittent leur pays. C'est une réalité factuelle. Même les riches partent. Les immigrés sont les retraités qui viennent profiter des bonnes et du soleil. Je ne pense pas que cette éducation soit profitable à mon fils.
On me reproche mes positions tranchées, lorsque je demande humblement quelles pourraient être les solutions, l'enfant , le père et la parentalité sont sacrifiés.
La situation et les attitudes sont scandaleuses et terribles. Pour faire admettre que Nathalie n'est pas marocaine et qu'elle utilise ce pays comme un brigand son refuge, tels les pirates Hollandais utilisaient Salé comme repère, je dois argumenter sans cesse.
Ces arguties, ces manoeuvres de pirate, ces procédures épuisantes  pour faire reconnaître à un enfant le droit à une vie épanouissante.
Je pense que ce que connaît Adrien est le plus grand fléau qu'un enfant puisse connaître,  sa mère lui interdit de voir son père. Mais l'expérience montre que les fléaux renforcent ceux qu'ils ne tuent pas. L'épreuve est dangereuse, la mère a choisi, des gens l'ont soutenue, nous verrons.
Il ne me reste que l'espoir dans l'adversité, j'aiderai mon fils à se remonter.

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