vendredi 23 septembre 2011

dérive du sens commun.

La demande de sécurité exacerbe le statut maternel jusqu'à lui faire oublier sa fonction éducatrice.
L'enfant élevé dans le conflit ouvert au père ne sait plus vers quoi se tourner.
La mère qui, pour un désarrois personnel, sacrifie son fils est socialement criminelle, elle transforme son fils en électron libre.
Ces actes criminels perturbent non seulement un enfant, mais le père et la société future.
La société propose des sanctions, mais ces sanctions ne protègent pas l'enfant, il est même à craindre que l'enfant en pâtisse. Le père ne bénéficie que du soupçon, il ne fallait pas laisser la mère agir, il ne fallait pas lui laisser le passeport, il ne fallait pas laisser la tante s'approcher de l'enfant...que des conseils....irréalisables sans contraintes physiques, Une mise en perspective de la subordination de la femme, l'homme est responsable des dérives féminines.
La mère et la tante ont le même comportement, gène ou éducation ? Leur focalisation sur mon fils est flagrant, cet enfant est leur jouet exclusif, elles s'en emparent, le gavent de jouets et d'attention, le privent de tout repère extérieur à elles même.
La complicité de leur environnnement ne s'explique que par le malaise qu'elles imposent, les contrarier est explosif, j'en sais les conséquences.

Dans tout cela, cette situation a été illustrée de nombreuse fois par la mythologie. Un enfant est saccrifié sur l'autel des parents. Chaque jour le poison progresse.

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