samedi 29 janvier 2011

Dérision

Ironie, devant l’expression de ma souffrance, on me suggère d’aller voir un psychologue spécialisé dans l’accompagnement des victimes.
Ce blog exprime ma perception des faits. Devant la monstruosité de ce que je décris, un enfant retenu à l’étranger contre la volonté de la justice et contre l’avis du père. Que de plus je qualifie de délétère et incompatible avec l’éducation d’un jeune garçon  l’ambiance régnant dans le lieu de résidence à Rabat. Que la publication des photos  montrant les pratiques de cette famille soit considérée comme une atteinte à la vie privée, alors que mon fils est présent sur ces photos sans que je ne puisse m’opposer physiquement car l’on m’a fait violence pour l’emmener, jusqu’à me forcer le passage lorsque j’ai voulu intercepter la personne qui utilisait ma voiture pour emporter, sans mon consentement, les affaires de mon fils.
Il y a une personne qui réside en France, qui a des relations téléphoniques avec mon fils, qui refuse de me donner des nouvelles, sans doute par dépit, je ne vois aucune autre raison. Je dois subir la morgue de cette personne, toute métaphore ou qualificatif de son attitude étant considéré comme une injure à son honneur !
J’ai rencontré une femme déséquilibrée il y a 8 ans, le deuxième jour  elle me menaçait de son couteau. Nous avons vécu 18 mois de délire desquels est né un enfant que je souhaite protéger des délires de sa mère depuis que j’ai eu connaissance de cette conception. Accusation de viol, de harcèlements téléphonique , provocation à la violence, soustraction d’enfant, attitudes et pratiques délirantes.
Le fait que je m’insurge verbalement de cette situation est un signe de violence.
Je ne peux me taire, je sais que la société n’aime pas les vagues, mon fils est retenu au Maroc,  je dois accepter la souffrance et l’angoisse.  Le temps passe, déjà un an.
Cette histoire est actuelle et se passe à paris. Elle commence en juillet 2002, entre une femme française et un homme français, un mariage français.
Lors d’une audience le 21 janvier dernier, les avocats sont convenus devant le vice président qu’adrien devait m’appeler avant le 4 février… Déjà une semaine  sans nouvelle, une semaine de tourment.
Je ne dois pas parler de Tchekhov, je ne dois pas parler de dépravations, je ne dois pas parler de violence, je ne dois pas me considérer comme une victime sauf devant le psychologue, je ne dois pas affronter, je dois subir.
Et si un père avait enlevé sa fille au Maroc pour la confier à un tonton exhibitionniste ?  Et si un homme entretenait des relations téléphoniques avec cette enfant en refusant de donner des nouvelles de l’enfant à la mère….
On me répond que ce serait différent……