mercredi 30 mars 2011

quelques pensées au calme

Ce soir, en rentrant je rencontre un homme qui aime adrien et qu’Adrien aime. Peut être une relation simple, mais il était le « baba ». Il a téléphoné à Adrien du temps où la prison n’était pas étanche, maintenant lui aussi n’a plus de nouvelles. Il m’a suggéré que l’on aille tous les deux chercher adrien, il parle arabe, peut être Tunisien, mais arabe tout de même. J’ai fréquemment  de telle proposition, et si je le faisais…
La justice reconnait qu’il y a enlèvement, la frontière avec l’Algérie est très perméable. Les deux sœurs gardent Adrien au silence car elles craignent que la situation se renverse. Adrien est un petit garçon, sa mère ne peut pas le réduire à sa chose, même si son psychisme l’y pousse. Je m’interroge sur la capacité de nuisance des ces femmes. Jusqu’à où peuvent-elles aller ? Fabienne a failli me tuer en me fonçant dessus en voiture, nathalie m’a déjà menacé d’un couteau, des gestes de folles, mais la folie est tolérée chez les femmes, mais là, elles tiennent un enfant en otage ! Elles « châtrent »  un jeune male,  leur fantasme de domination, elles vont même jusqu'à capter sa sexualité par les manœuvres tendancieuses que j’ai exposées.
Est-ce que lorsqu’il sera trop tard la société reconnaitra son erreur. Sanctionner Nathalie par la prison est peut être utile, mais limiter sa nuisance serait préférable !!! Nous avons perdu trop de temps.

dimanche 27 mars 2011

Cris de colère, écrits du père, cris du père, écrits de colère.

Je suis obligé de subir une prise d’otage. Mon fils est entre les mains de 2 femmes dont une, circonstances aggravantes, est la mère biologique.
Ces femmes retiennent un enfant de 6 ans loin de son cadre vie, elles le séduisent par tous les moyens, y compris par la sensualité des massages, je dispose de photos non équivoques.
Je m’interroge sur les intentions de la mère lorsqu’elle prend les photos de sa sœur nue courant après mon fils? Est ce qu’Adrien, mon fils est un jeu pour ces créatures. Les relations de ces deux sœurs demandent le sacrifice d’un jeune garçon ?
J’exagère ? Fabienne pousse sa sœur dans une situation catastrophique, Nathalie dans sa stupidité se laisse faire en se jouant des décisions de justice. Et ces personnes souhaitent jouir sans entrave d’un enfant en lui proposant une éducation sans père sans aucune justification.
Ne suis je pas en situation d'agression, ne dois je pas bénéficier d'une assistance, ou du moins d'une liberté d'action. Ces femmes sont sans défense, il n'y a que la société qui leur accorde une "protection", et encore in fine Nathalie ira en prison, est-ce mieux que la fessé que son comportement mérite? nous sommes devant des irresponsables qui abusent de droits réservés aux êtres responsables.
Je m'égare, mais mon fils est en danger et la loi me bloque, voila la situation.

vendredi 25 mars 2011

pas de nouvelle

Toujours pas de nouvelle d’Adrien, le comportement des deux sœurs est manifestement pervers sur l’enfant. A aucun moment elles n’ont invoqué une maltraitance de ma part sur l’enfant, cette enfant est leur chose, elles se comportent comme fabienne avec son chien,  nous estimons que l’enfant ne doit plus voir son père, on ne discute pas.
A Paris, l’immense majorité des relations ne s’explique pas un tel comportement à part le coup de folie, un coup de folie de 15 mois devient un état.
Un voisin qui a connu cette situation, et dont la mère à fini à l’hopital psychiatrique, m’exprimait sa certitude quant à la capacité d’Adrien  à ne prendre que les aspects positifs, c’est disneyland en plus grand, j’ai tendance à le croire, mais il faudra rendre à Adrien une image positive des femmes après la streapteaseuse initiatrice et la mère dévoyée.

mercredi 23 mars 2011

pourquoi ce blog

Fréquemment  je m’interroge sur la pertinence de ces écrits. La personnalité des intéressés est connue. La perversion des pulsions  est évidente. Nous sommes devant un cas d’enlèvement d’enfant, soustraction pour l’euphémisme.  A aucun moment ces femmes ont invoqué une mise en danger de l’équilibre de l’enfant  par le père.
Lors des audiences, elles  n’évoquent que ma résistance à leur délire. Fabienne espère du statut de son mari une couverture de ses malversations. C’est de famille le père m’a même écrit que « j’osais m’opposer à médhi».
Tout cela ne justifie pas l’attention que je porte à ce blog. Une tribune, détourner une violence que ce que je subis provoque. Epargner mes relations, si vous voulez savoir ce que je pense, allez le lire, je peux aussi m’épancher sur votre épaule mais ne me demander  pas de la compassion pour ces houris.  Il y a de çà, mais je pense aussi à préparer les audiences finales. Les commentaires des avocats me permettent de savoir ce qui est perçu dans mes arguments.
La mise en cause de l’équilibre psychologique est mal vue. Si la thèse de la folie n’est pas abordable, il ne reste que la responsabilité objective.
Dire qu’Adrien est bien au Maroc ne justifie pas l’enlèvement, cela revient à confirmer la thèse de la séduction. Je ne suis pas inquiet pour le confort de mon fils, je suis inquiet pour sa structuration. Une tante exhibitionniste,  des hommes vieillissants sous la coupe d’une femme pervers, une mère sous la dépendance totale de ces gens, un statut d’enfant sans père dans une société très éloignée de la sienne. Cette simple description sans aucune mise en forme, je dispose de toutes les preuves objectives de ce que j’avance.
Ce blog me permet de ponctuer ma décision. Lorsque fabienne, par l’intermédiaire d’un courrier entre avocat,  me demande d’estomper l’acuité d’une phrase, cela me permets de voir ce qui la gène.  La mise en danger de l’enfant ne la concerne pas, elle est convaincue de son bon droit par la maîtrise de la mère. Adrien se dirige vers ses 7 ans, la sortie du gynécée va s’imposer. Le refus de ces femmes devant la vie est un crime. En le clamant, j’essaye d’alerter les gens de bon jugement de ne pas être complice.
Pour l’instant le jeu juridique permet les renvois et les appels. Toutes les procédures ont une fin, nous en sommes à 18 mois de prison ferme pour la mère, le maximum est de 3 ans, les procédures contre fabienne se constituent, « la peur du gendarme est le commencement de la sagesse » dit le dicton, il est dommage d’être obligé d’utiliser ces extrémités, mais il existe des interprétations psychanalytiques parfaitement adaptées à ces comportement. Malheureusement elles confirment la mise en danger du jeune garçon.

mardi 22 mars 2011

moralité

Aujourd'hui mon avocat reçoit des nouvelles, non pas de mon fils, non, mais de fabienne, il ne faut pas que je parle de faits dont un témoin atteste la réalité. Cela montre les qualités de probité des filles lakhdari, elles nuisent mais il ne faut pas le dire. Les manœuvres spécieuses d’une femme pour détourner un enfant de son père ne sont que des fariboles pour ces femmes. Les condamnations pénales ne les atteignent pas.
 Et pendant ce temps un enfant de 6 ans se fait manipulé par des femmes perverses, une est sa mère mais son attitude la contraint par la justice française à verser des dommages et intérêts à son propre fils, condamnation qui démontre l'ignominie de ces comportements.
Les actes de ces deux femmes montrent l’exactitude de mon jugement d’il a un an lorsque je parlais de l’ambiance délétère, rien ne doit contrarier le désir de ces femmes, un enfant n’est qu’un jouet pour assouvir un désir féminin. Détourner un enfant de son père n’est pas moins amoral  pour ces femmes que détourner un homme de sa famille pour une séductrice. Parler des droits imprescriptibles d’un enfant à entretenir des relations avec ses deux parents est inaccessibles à ces gens.
En revanche, qualifier les actes délirants d’une femme est suspect  !
J'ai confiance dans la justice, elle est lente mais le cheminement aboutira, j'ai confiance en mon fils les manœuvres de séduction peuvent l'infléchir quelques temps, mais il comprendra. Il faudra que je lui redonne confiance en lui après ces épreuves.

deux semaines après verdict pour enlèvement!

Presque deux semaines après le procès, le silence de la partie adverse ne laisse plus trace de raison, malgré les avertissements de la justice, les positions se durcissent au Maroc. Il est vrai qu’un jugement par défaut, provoqué par une absence volontaire, ouvre la porte à une autre audience, mais rajouter 6 mois à une séquestration alourdira la peine, et sans présence à la prochaine audience il y a peu d’espoir d’amélioration.
Cette situation me conduit à envisager que la deuxième année de scolarité d’Adrien sera aussi perturbée par les délires de sa mère et de sa tante, mais cela ne les inquiètent pas, seul leur bon plaisir prime.
Les deux semaines de délai de réaction se poursuivront des deux mois d’éloignement. Deux mois à attendre la signification d’une autre procédure qui conduira à une autre condamnation. Durant ce temps un petit garçon subira les assauts d’un univers délétère, une mère en délire de prostration, aucune nouvelles d’Adrien depuis 10 mois, une tante qui prétend des troubles psychiques pour justifier ses actes !
Les revendications du peuple marocain montrent le poids que fait peser ces comportements. Le public et le privé se calque, l’expression tyrannique du désir et le mépris de l’autre sont une constante. L’inertie d’une partie revendiquant son plaisir nécessite d’ébranler l’édifice.
Nathalie et Fabienne revendiquant  leur féminité et maternité se positionnent en hérauts d’un féminisme, quitte à nuire à l’évolution d’un petit garçon qui n’est que leur faire valoir. La protection qu’apporte le Maroc à cette situation, je dis protection car, depuis juillet 2010, la justice marocaine a reconnu la validité de l’ordonnance de non conciliation mettant adrien sous ma protection, revient aux  pratiques politiques générales, d’un coté une déclaration officielle, de l’autre l’inertie.

samedi 19 mars 2011

puisque la racaille fuit la parole

Je parle de l'enfant, mais pas de moi. Moi le père auquel deux femmes volent l'enfant. J'ai consacré cinq ans de ma vie à établir une relation,  j'ai construit des liens vis à vis de lui, je sais très bien que son sens de la survie le conduira a s'adapter, c'est la loi de la vie. Mais ces femmes ont sciemment fait le mal. Elles n'ont pas d'excuses et n'en revendiquent pas d'ailleurs, nous sommes dans le mal pur et gratuit, un homme et un enfant sont mis en danger par deux créatures.
De plus la société demande a cet homme de subir stoïquement cette situation. Il rencontre des complices, il ne peut pas les rudoyer sans être convoqué par la police pour outrage !. Il peut se rendre au Maroc pour contre-enlever son fils, la justice française respectera les accords internationaux alors que le Maroc traine les pieds. Le père est offensé, il souffre deux fois, une par la séparation et une par l'inaction.
Ce matin, j'ai croisé un homme qui ne peux rien dire, sa femme le terrorise, je lui ai demandé de lever les yeux et de se respecter devant son fils, j'ai honte pour ces gens. Je ne sais ce que je dirai à Adrien lorsqu'il reviendra, ces gens ont voulu nuire à ton père, ce sont de mauvaises gens. Je lui apprendrai le pardon de la grandeur, ces gens sont des pauvres en vie. Je ne peux pas mépriser, la haine est destructrice, le simple dégout, mais que leur vue ne m'offense pas, je viens de croiser un être rampant qui se sauve comme un rat.
J’ai évoqué l’expression « de mise en abime » que nathalie utilisait. Cette sensation de perdre pieds face à une situation que l’on perçoit intensément. La lucidité est cristalline, les sens sont aiguisés, sur le moment on sait que l’on ne risque rien mais l’imprévu est là. L’imprévu peut être un excès de conscience,  je suis en devoir de protéger mon fils et je dois confier cette fonction à une « société » dépassée.  L’excès peut venir dans un acte de désespoir légitime de détruire ces personnes qui participent à cette situation. Cette sensation de se contrôler, la provocation de l’attitude et de la parole lorsque je les croise. La bassesse de leur « bons sentiments », la mère et son enfant, Cet acte serait animal mais l’agression que je subis à la vue de ces personnes peut me conduire à un excès. La blessure qu’ils m’infligent par leur présence m’est injustifiable, mais pour mon fils je dois les supporter. La femelle outragée par mon refus qui me nargue dans ma paternité à laquelle elle aurait sans doute espérer, son partenaire fuyant, les enfants terrorisés.
Mais cela est anecdotique, le vide ulcéré que provoque cet enlèvement me ronge,  Le tabou de la mère destructrice me renvoie à d’autres images de mère que je lis intensément actuellement autour de moi et dans l'histoire.
Nathalie m’a demandé plusieurs fois comment je la supportais, peut que sa folie relativisait toute les autres, mais là, elle met la santé mentale de mon fils en jeu.
Comme sa sœur qui exhibe son corps devant un jeune garçon, le jeu de la mise en abime, la réalité de l’objet du désir est provocation, que l’on ne me dise pas que « l’origine du monde » n’est pas provocation bien que neutre objectivement.
Cette démarche en « meute » des deux sœurs, les aller retour de vie à trois, ce front des deux sœurs pour survivre dans la nuisance. J’ai du mal à concevoir qu’elles ne soient pas conscientes de « foncer  dans le mur » depuis le début de cette cavale. Elles grillent leur cartouches les une après les autres, des hommes vieillissants, des vies sans âmes.

La violence n’est pas nécessairement du coté de la force, je ne veux pas utiliser de vocabulaire manichéen, mais les individus qui s’apitoient sur la future incarcération de nathalie montrent leur profonde ignominie.  

vendredi 18 mars 2011

Le champ des procédures ressemble à un labyrinthe.

Le champ des procédures ressemble à un labyrinthe. Procédures marocaines de retour, d’exéquatur, une soit disant procédure de divorce pour laquelle 12 mois après le principal intéressé n’a toujours pas été contacté, il semblerait que cela ne soit qu’une demande non recevable devant l’autorité marocaine. Procédures françaises de soustraction d’enfant, de non respect d’une ordonnance de garde d’enfant, un appel, de diffamations pour oser dire la honteuse vérité, de divorce.
Cette énergie est cancéreuse, les procédures sont comparables aux métastases qui se développent pour envahir la vie organisée. Pour l’instant nous en sommes à 10 procédures, 3 sont closes, 2 sont placées, 1 en attente de publication de jugement et 4 dans les couloirs des palais.
Nous sommes en plein délire, un enfant de 7 ans est au milieu de tout cela, un otage bousculé par des femmes déséquilibrées.       

La nuit porte conseil.

L’annonce de la sanction transforme la mère en victime. Une mère ne peut être sanctionnée pour un excès de possessivité, voila la pensée que je rencontre.
Cette possessivité que l’on rencontre en permanence, surprotection des enfants créant des clivages de société, ghettoïsation des bons enfants à sa maman contre ces méchants enfants abandonnés dans la rue. Par ses excès, Nathalie devient un héraut de cet « amour » maternel, bravant l’ordre naturel, la loi, les usages, l’enfant. La toute puissance de la mère, je l’ai porté neuf mois, la biologie m’apporte tous les droits. Cet état d’esprit est là pour lui confier les moyens d’action pour protéger. Est-ce que c’est une réponse à l’impératif de la maternité, je n’irais pas jusque là, mais j’ouvre la porte.
Nous nous trouvons devant des individus pulsionnels, un enfant est l’objet de convoitise, l’enfant grandissait, il allait connaitre le monde, la mère lui brise ses références. Le dilemme de la mère qui voit ses enfants partir, on en sourit, on en souffre, Adrien est maintenu dans cette gangue. Les autres délires ne sont que l’expression de l’absence de retenue de ces femmes

jeudi 17 mars 2011

approfondissements

J’ai le sentiment que la situation bouscule des non-dits : une mère est dans la situation de nuire à son fils, elle le fait avec le simple motif de contrarier le père. La justice est obligée de sanctionner une mère dans l’exercice de l’autorité parentale, Nathalie n’est pas encore déchue de ses droits sur Adrien.
Si l’on écarte les influences externes, si l’on est conscient que Nathalie étant avertie des conséquences de ses actes, j’ai envoyé les extraits de code pénal il y a un an, j’ai même prévenu Adrien que sa mère se mettait en danger, comment expliquer un tel acharnement sur cet enfant !
Une vengeance, les délires de Nathalie ont commencé dès la conception, et fabienne était déjà dans le coup ?

Lorsque, devant témoin produisant attestation,  fabienne me fonce dessus en accélérant pour me forcer le passage  au volant de ma voiture. Le regard de fabienne me fait peur  par sa détermination et je suis obligé de me protéger en esquissant le choc.
(texte modifié à la demande de Fabienne Lakhdari le  22 mars).
Les jeux d’exhibition, la violence, le déni du père, l’éloignement de sa culture, il y a une violence réelle contre Adrien, je suis hors d’atteinte. Nous nous trouvons devant la destruction programmée d’un enfant, si ce n’est destruction nous pouvons parler de déstructuration.
Que faire contre cette violence ?
Aucune faute factuelle n’est reprochée au père, la mère ne se justifie que d’histoires antérieures à la naissance de l’enfant ou d’impression.
Je crains un délire, et dans ce cas l’enfant est encore plus en danger, et nous en sommes tous responsable.   

mercredi 16 mars 2011

Pour le futur

Depuis quelques jours, la sévérité de la sanction vis à vis de la mère interroge les gens. Nathalie est la mère, l’incarcération de la mère peur être préjudiciable à l’enfant. Mais est ce que la non incarcération ne le serait il pas plus ?
L’attitude de la mère est une négation du père. L’enfant est un garçon qui s’identifie au père. Les pratiques de dégradation de l’image du père des houris marocaine sont certaines. Un petit garçon, qui était très lié à son père, se voit projeté dans un univers totalement hostile à son père, au centre duquel sa propre mère joue les victimes.
Il me semble que pour sécuriser Adrien, il est souhaitable, et même nécessaire, que sa mère, voire sa tante, purgent une peine de prison ferme significative, pour l’équilibre de l’homme qu’Adrien deviendra.

Que, dans un premier temps, des femmes ne découvrent pas ce raisonnement me semble normal, mais que ce doute subsiste montre l’inconséquence vis-à-vis de l’enfant.  

mardi 15 mars 2011

le monde se fache, pour ne pas dire Dieu

D’un coté un roi corrige paternellement quelques sujets dévoyés ne lui accordant plus une confiance aveugle, de l’autre une mère joue à cache cache pour jouir de son fils au détriment de son équilibre et de la justice.
Où est le lien, un pays, une culture, un état d’esprit  de certitude. Je pense à une forme d’autisme. Si l’on revendique l’autorité et la loi, adrien doit revenir chez son père, si l’on soutient la subversion, les lakhdari doivent être protégés au Maroc,  mais comment justifier une telle attitude ?
La situation devient explosive. Qu’un enfant soit utilisé comme otage par sa mère, ou qu’une mère dans un accès de délire se comporte comme cela, et que les personnes  la côtoyant  ne la ramènent pas à la raison interroge sur les systèmes de valeur.
Il peut exister des dérives, mais je crois que le bon sens triomphera  in fine. Les exemples de violence contre les hommes, contre la nature, contre Dieu sont toujours édifiants car se soldent par la déchéance de ceux qui les commettent.

lundi 14 mars 2011

ce blog est mon seul lien avec mon fils de 6 ans !!!!

Voila, nous sommes arrivés à une première étape, le constat officiel de l’enlèvement.  Les sanctions ne sont qu’une conséquence. Si Adrien ne rentre pas très rapidement, outre les procédures pénales, j’utiliserai  la  voie sanitaire du délire avec mise en danger de l’enfant, ce qui est parfaitement crédible. Votre système de défense montre votre incohérence et votre mépris de l’enfant. Les comportements familiaux, les courriers de votre père, l’absence de responsabilité de la mère, les exhibitions de la tante, tout cela peut appuyer une thèse psychiatrique avec mise en danger de l’enfant.
Du fait du renvoi en appel de la décision de conciliation, Adrien doit être entendu par le juge,  la mère doit  prochainement être contacté dans ce sens, sa réaction orientera les décisions.
Cette situation soulève des passions  contradictoires, la cavale de nathalie amuse les féministes en les scandalisant par l’enlèvement de l’enfant. Mon statut de père outragé est reconnu et mon attitude de défense, proche de l’attaque, est respectée.  les sanctions, quoique justifiées, sont estimées, à juste titre, comme lourdes, mais en proportion de la faute de la mère.
Mes attaques sur la société marocaine qui protège une femme en furie  rencontrent des avis partagés, la lourdeur de la justice française fait largement pendant à cette situation. L’Exequatur  reçu en septembre montre que  la justice du Roi est réactive, il n’y avait pas de contrainte sur l’ordonnance de conciliation, maintenant il y a un mandat d’arrêt….

dimanche 13 mars 2011

Ce blog est le dernier lien avec mon fils, je l'exploite.

La perversion de la situation vient du conflit. Qu’Adrien soit séparé de son père est, soit absurde, soit volontairement pervers.
Que cette séparation soit matérialisée par 2000 kilomètres, une civilisation, un continent, une langue, une religion, une fuite que l’enfant identifie comme le far west montre le caractère excessif de cette situation .
Que les conséquences juridiques inéluctables de cette situation soient un conflit entre le père et la mère, non pas pour le divorce proprement dit qui ,lui, n’est pas discuté, pas de conflit, pas de revendication particulière après plus d’un an de procédure, rien de sordide, simplement un « pétage de plomb » de la mère en décembre 2009, "nous partons nous mettre sous la protection de médhi", c’est bref, c’est simple. Et cet homme, Mohamed  Chahid  ne réagit pas, il refuse mes lettres, il accueille, en dépit de toute les conséquences que sa culture  lui permet d’anticiper, déstabilisation de l’enfant, poursuites juridiques, offense aux usages familiaux.
Cette histoire est plus profonde qu’un simple acte de folie,  elle exprime un profond malaise, les acteurs sont dans l’accomplissement d’une chimère, adrien n’est que le jouet de fantasmes.
Je ne pense pas que le père que je suis puisse accepter cette situation, mon combat me semble juste.
Si mon combat est juste, qu’en est-il de celui des Lakhdari et Chahid, Medhi en tant que chef de famille est responsable de ce que sa femme commet. Si sa responsabilité pénale ne peut être engagée, sa responsabilité morale l’est par les courriers de Nathalie. Je ne parle pas d’Alexandre Pallas, son attitude et ses mensonges font de lui le bouffon pervers et nocif de l’histoire.
Je ne peux penser que cette situation s’éternise, la justice confirme à chaque étape le bien fondé de mes positions. Ce que j’écris sur ce blog est régulièrement lu par tous les acteurs et par la justice, il n’y a pas d’abus.
Toute personne rencontrant adrien doit savoir que cet enfant est abusé. Je pense que la passivité de l’entourage marocain devient criminelle. L’attitude de nathalie est délirante. Qu’elle ne maltraite pas physiquement son fils est la moindre des choses. Qu’elle essaye de le séduire en lui offrant le même bien être matériel que celui qu’il connaissait à Paris est du même registre. Mais ils y a des dizaines de personnes qui s’inquiètent du sort du Petit Prince de Saint Blaise, et il n’y en a qu’une seule qui se réjouisse de cette situation,  ses motivation ne sont pas très noble et rejaillissent sur son aspect physique.

J’attends avec fermeté l’aboutissement de cette folie. Adrien connaitra la fragilité des sentiments humains, même sa mère peut lui être dangereuse, la séduction n’est qu’un masque fugitif.
Je m’interroge sur les conséquences possibles de cette aventure. Je pense que l’on ne peut que faire confiance à la vie.




réflexions dans le silence

Le silence des Lakhdari montre  leur incompréhension de la situation. Ces femmes sont d’un égoïsme inhumain. Ce qu’elles font en séduisant un enfant ne peut être que le reflet de leur personnalité profonde. L’archétype  de la goule s’adapte assez bien, séduction, perversions lubriques, haine  du mâle, les charmes vieillissants, de plus est, l’orientalisme.  Les hommes entourant ces femmes semblent, par leur faiblesse, être les victimes de ces créatures. Mon fils est trop jeune pour subir cela.
Notre époque assiste au retour des superstitions, nous allons peut être devoir pratiquer des exorcismes sur ces personnes, la psychiatrie qu’invoque Fabienne pour sa défense, les antécédent de Nathalie, le dénie de justice qu’elles provoquent, utiliser l’hospitalité d’un pays pour perpétrer le scandale, renier ses racines nationales pour assouvir  ses fantasmes.
Si Nathalie ramène l’enfant rapidement, la cour  pourra constater, lors du jugement contradictoire  qu’elle ne manquera pas de demander, que son attitude n’était que la conséquence d’une lourde erreur mais non du désir de maltraitance sur l’enfant Adrien, dans ce cas un aménagement de peine pourra être envisagé.
Dans le cas où Nathalie ne montre pas de contrition, ce que semble montrer son silence, toute action juridique ne serait donc qu’instrumentation, il y a de forte probabilité pour que cette attitude renforce sa culpabilité, donc les sanctions.

vendredi 11 mars 2011

encore une journée d'audience

Aujourd’hui devant une chambre correctionnelle parisienne, le président et l’huissier se souviennent honorablement de moi, l’avocat des Lakhdari est obligé de s’excuser  auprès du président pour sa légèreté lors de notre première affaire. Cette situation devient scandaleuse, Nathalie et Fabienne font honte à la société. Le statut de la famille marocaine  de Fabienne ne peut être qu’entacher par les agissements de ces deux femmes, et mon fils est dans ces effluves fétides, c’est insupportable.
Le calendrier des audiences s’étale sur 10 mois, une course d’endurance après deux référés, la cour montre que l’urgence de la défense de l’honneur de Fabienne n’est qu’un aspect fort relatif.
J’ai échangé quelques correspondances avec le père des deux sœurs, un personnage délirant dont la prose montre l’ambiance de vie de ces deux femmes, on pourrait presque les excuser,  si un enfant de 6 ans n’était pas en danger comme la justice le reconnait en lui accordant des dommages et intérêts. On comprend tout de même les tendances excessives de ces femmes.
J’ai contacté un agent littéraire pour m’accompagner dans la rédaction d’une narration de cette histoire. La situation d’un père devant la violence d’un enlèvement, la lourdeur des procédures avec l’étranger, la suspicion de protection au Maroc, les caractères excessifs des femmes en présence, une palette de sujet à structurer dont le caractère scandaleux peut soutenir l’attention d’un lectorat significatif. L’actualité et la pertinence du sujet ainsi que la quantité de matériaux disponible rendent ce projet réalisable. Nous nous donnons quelques jours de réflexion.   

jeudi 10 mars 2011

Appel à la conscience marocaine

Un jugement a été rendu, Nathalie est lourdement condamnée en sa personne par 18 mois de prison ferme, mais, de plus,  elle doit matérialiser les tourments occasionnés à Adrien par une indemnité significative à mon fils. La justice française reconnait que de tels agissements d’une mère sur son fils peuvent être sanctionnés.   
La raison prend le dessus, les procédures se poursuivent, je ne peux imaginer que le Maroc accorde sa protection pour une cause aussi démente. Une femme met son fils en danger pour assouvir un fantasme castrateur.
J’ai bon espoir dans la suite des événements.
De plus, bien que l’on me harcèle pour ce blog, son existence me permet d’exprimer librement mes ressentis et d’en  faire états.
Fabienne essayait de justifier  son attitude par un divorce conflictuel, la sanction pour soustraction d’enfant est tombée, le divorce n'est que pour le 26 avril.  Les sœurs Lakhdari vont peut être chercher à nuire à mon fils, mais la justice avance et les complices seront châtiés.