mardi 22 mars 2011

deux semaines après verdict pour enlèvement!

Presque deux semaines après le procès, le silence de la partie adverse ne laisse plus trace de raison, malgré les avertissements de la justice, les positions se durcissent au Maroc. Il est vrai qu’un jugement par défaut, provoqué par une absence volontaire, ouvre la porte à une autre audience, mais rajouter 6 mois à une séquestration alourdira la peine, et sans présence à la prochaine audience il y a peu d’espoir d’amélioration.
Cette situation me conduit à envisager que la deuxième année de scolarité d’Adrien sera aussi perturbée par les délires de sa mère et de sa tante, mais cela ne les inquiètent pas, seul leur bon plaisir prime.
Les deux semaines de délai de réaction se poursuivront des deux mois d’éloignement. Deux mois à attendre la signification d’une autre procédure qui conduira à une autre condamnation. Durant ce temps un petit garçon subira les assauts d’un univers délétère, une mère en délire de prostration, aucune nouvelles d’Adrien depuis 10 mois, une tante qui prétend des troubles psychiques pour justifier ses actes !
Les revendications du peuple marocain montrent le poids que fait peser ces comportements. Le public et le privé se calque, l’expression tyrannique du désir et le mépris de l’autre sont une constante. L’inertie d’une partie revendiquant son plaisir nécessite d’ébranler l’édifice.
Nathalie et Fabienne revendiquant  leur féminité et maternité se positionnent en hérauts d’un féminisme, quitte à nuire à l’évolution d’un petit garçon qui n’est que leur faire valoir. La protection qu’apporte le Maroc à cette situation, je dis protection car, depuis juillet 2010, la justice marocaine a reconnu la validité de l’ordonnance de non conciliation mettant adrien sous ma protection, revient aux  pratiques politiques générales, d’un coté une déclaration officielle, de l’autre l’inertie.

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