mercredi 23 mars 2011

pourquoi ce blog

Fréquemment  je m’interroge sur la pertinence de ces écrits. La personnalité des intéressés est connue. La perversion des pulsions  est évidente. Nous sommes devant un cas d’enlèvement d’enfant, soustraction pour l’euphémisme.  A aucun moment ces femmes ont invoqué une mise en danger de l’équilibre de l’enfant  par le père.
Lors des audiences, elles  n’évoquent que ma résistance à leur délire. Fabienne espère du statut de son mari une couverture de ses malversations. C’est de famille le père m’a même écrit que « j’osais m’opposer à médhi».
Tout cela ne justifie pas l’attention que je porte à ce blog. Une tribune, détourner une violence que ce que je subis provoque. Epargner mes relations, si vous voulez savoir ce que je pense, allez le lire, je peux aussi m’épancher sur votre épaule mais ne me demander  pas de la compassion pour ces houris.  Il y a de çà, mais je pense aussi à préparer les audiences finales. Les commentaires des avocats me permettent de savoir ce qui est perçu dans mes arguments.
La mise en cause de l’équilibre psychologique est mal vue. Si la thèse de la folie n’est pas abordable, il ne reste que la responsabilité objective.
Dire qu’Adrien est bien au Maroc ne justifie pas l’enlèvement, cela revient à confirmer la thèse de la séduction. Je ne suis pas inquiet pour le confort de mon fils, je suis inquiet pour sa structuration. Une tante exhibitionniste,  des hommes vieillissants sous la coupe d’une femme pervers, une mère sous la dépendance totale de ces gens, un statut d’enfant sans père dans une société très éloignée de la sienne. Cette simple description sans aucune mise en forme, je dispose de toutes les preuves objectives de ce que j’avance.
Ce blog me permet de ponctuer ma décision. Lorsque fabienne, par l’intermédiaire d’un courrier entre avocat,  me demande d’estomper l’acuité d’une phrase, cela me permets de voir ce qui la gène.  La mise en danger de l’enfant ne la concerne pas, elle est convaincue de son bon droit par la maîtrise de la mère. Adrien se dirige vers ses 7 ans, la sortie du gynécée va s’imposer. Le refus de ces femmes devant la vie est un crime. En le clamant, j’essaye d’alerter les gens de bon jugement de ne pas être complice.
Pour l’instant le jeu juridique permet les renvois et les appels. Toutes les procédures ont une fin, nous en sommes à 18 mois de prison ferme pour la mère, le maximum est de 3 ans, les procédures contre fabienne se constituent, « la peur du gendarme est le commencement de la sagesse » dit le dicton, il est dommage d’être obligé d’utiliser ces extrémités, mais il existe des interprétations psychanalytiques parfaitement adaptées à ces comportement. Malheureusement elles confirment la mise en danger du jeune garçon.

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