dimanche 31 octobre 2010

TABOU, folie,

Je suis conscient de la difficulté de mes affirmations. Le tabou auquel je m’affronte me concerne aussi. J’ai déjà demandé à nathalie de ne pas exagérer les soins génitaux sur notre fils, non que j’y voyais formellement une  perversion, mais déjà une intrusion.
Les insinuations d’abus paternels que nathalie m’a confié avoir ressenti, la vie tumultueuse de fabienne, la sexualité exubérante des décolletés et des robes échancrées, tout cela sont des signes que l’on refuse.
Les propos sexuels de la mère délirante montre l’ambiance que ces femmes ont connue.
Je dis , « même moi » car je me considère comme un observateur en première ligne, j’ai mis plusieurs mois à mettre les événements et les causes en perspective.
Nous sommes en face d’un délire familial, les 2 sœurs abandonnées par le père en plein adolescence, le père de ces femmes lui même enfant abandonné vivant comme un ours avec son chien, un ami lui-même perturbé par une maladie et une vie déstabilisée.  Les courriers du père sont délirants, l’attitude des 2 sœurs est vouée à l’échec, la complicité d’alexandre est stupide, il perd beaucoup pour rien en échange, il court à l’ échec.
La maladresse et l’absence de stratégie cohérente de leur attitude montrent le déséquilibre.
La justice rationnelle est dépassée, nous n’en sommes pas à l’exorcisme, mais à la psychiatrie clinique.
Lorsque je dis que nous n’en sommes pas à l’exorcisme, je m’interroge toujours sur la disparition de ma brosse à cheveux et de mon coupe ongle…le Maroc souterrain ?
Je crains pour mon fils, je fais mon possible

Guide des manoeuvres dilatoires

Une arme légale ! Exploiter les délais légaux, utiliser les silences  non sanctionnables.
Voila la pratique des lakhdaris.
1.       Commencer une procédure avec la complicité d’un avocat qui égare les lettres recommandées AR.
2.       Faire semblant d’être outragée par une demande clairement exprimée et prévisible pour interrompre une procédure.
3.       Fuir au Maroc
4.       Ne pas répondre au téléphone, ne pas accepter les lettres recommandées, ne pas répondre aux courriers simples.
5.       Porter plainte pour harcèlement téléphonique quitte à se faire débouter
6.       Exploiter de vieilles accusations infamantes, outrancières, ridicules nées dans le cerveau d’une pauvre femme qui était allé trop loin. Risquer la plainte pour calomnie.
7.       Tenter des procédures déplacées au Maroc
8.       Mentir sur la chronologie
9.       Abuser son entourage en se victimisant
10.   Dissimuler un enlèvement sous un divorce
11.   Refuser toute tentative de conciliation ou de médiation
12.   Mettre plus de 2 mois pour formuler un appel.
13.   Ne pas se rendre aux réunions d’avancement de dossier devant le juge.
14.   Exploiter le moindre écart d’attitude en jouant la vierge effarouchée devant la médiatisation d' actes probants laissant craindre un caractère pédophile.
15.   Utiliser des procédures onéreuses pour intimider.
16.   S’entourer de personnes au comportement spécieux.
17.   Multiplier les intervenants (à ce jour 5 avocats)
Nous en sommes à l’injonction de conclure ! le magistrat est contraint d’utiliser une telle décision. Cette histoire encombre la justice, mon fils est mis en danger par des individus sans conscience.
Comment nommer  le fait de soustraire un enfant de son père alors que la justice lui en a confié la garde!!! le mot fait peur.
J'accuse toute personnes les accueillant de complicité, en particulier Alexandre Pallas

Ces plaintes sont déjà formulées à la police française depuis le 11 mai 2010 et en sont cours d'instruction

samedi 30 octobre 2010

Réflexions après la colère

Certains pourront s’étonner de la franchise de mon blog. J’ai retiré les photos explicites, « voilez ce sein que je ne saurais voir ». J’ai retiré les phrases subjectives, comparer un malade à un ectoplasme peut être un signe d’envoutement, mais l’issue de la vie est certaine .
Je souhaite une procédure contradictoire. Mon fils est détenu au Maroc. La mère n’a jamais entamé une procédure de divorce, je n’ai reçu qu’une lettre démentielle. Il est fait allusion à une lettre recommandée avec AR que je n’ai jamais reçue. Lorsque je demande justification de ce courrier, seule une copie par fax me parvient !
Depuis, et jusqu’à fin mai,  je n’ai connu que de brefs messages ou d’arrogantes conversations téléphoniques où l’on faisait dire des stupidités à mon fils : "papa est une miette de pain devant tata zizi », « pourquoi ne me laisses tu pas refaire ma vie au Maroc », « Paris est une poubelle », des mots d’enfants…..mais jamais une conversation posée pour envisager une issue à ce cloaque. Dernièrement, une réunion d’avancement de dossier s’est tenue en l’absence de nathalie, ou d’un représentant, devant le juge des affaires familiales. Nous en sommes à l’injonction de conclure !
Bien que mon attitude puisse sembler outrancière, je souhaite aller jusqu’à la sanction des acteurs de ce drame. Un enfant ne peut être le jouet d’un tel drame. Interrompre une scolarité Montessori  en plein cycle est absurde et pervers, on est sûre que l’enfant en gardera des séquelles. Faire connaître la déstabilisation d’une fuite précipitée est aussi catastrophique, surtout lorsque  l’enfant est seul au milieu d’adultes.
Le divorce est réglé de mon fait, le « compromis » est établi.  Je dispose d’un écrit que j’ai retrouvé après la fuite de nathalie. Ces mots sont écrits au verso d’un dessin d’enfant sur du papier « Volume et Couleur », Société dont le complice masculin était le gérant. Les termes montent explicitement l’enlèvement. Adrien m’appelle au secours, mais ces furies l’enlèvent. Nous sommes en plein délire.
Je ne présenterais pas les lettres du « pépé », ce pauvre vieux est en plein délire, il a même essayé de me provoquer physiquement en m’incitant à venir chez lui….Paix au peu d’esprit qu’il lui reste.
Le Maroc se comporte avec plus de réactivité que la France. La procédure d’exequatur est déjà aboutie, l’ordonnance  française est reconnue explicitement par les autorités marocaines. L’absence d’éducation de Nathalie et de Fabienne les empêche d’anticiper, mais l’issue se rapproche.
Mais comment réparer le mal fait à mon fils !
Il disposera d’un dossier dans lequel les étapes juridiques seront consignées. Lorsqu’il se posera des questions, en fonction de sa maturité il accédera aux réponses formelles et concrètes.
Il sera entendu et écouté à son retour,  j’essayerai de contrebalancer cette année de folie qu’il aura connu. Lui offrir le calme réparateur.




Je ne pense pas que l'on pourra m'accusé d'avoir dérobé cette "lettre", je ne pense pas que Fabienne pourra accuser sa soeur de légerté car cette "lettre" est écrite de sa main, je ne pense pas que montrer cette "lettre" puisse m'être reproché par un avocat, quoique...vu le comportement de certains..le papier à lettre est identifiable, Volume et couleur. Tous les acteurs sont réunis.
Je pense que ce document se suffit à lui même.



vendredi 29 octobre 2010

paroles de père

J’écris pour mon fils dans 15 ans, qu’il sache que son père le défendait face à l’inertie de la société.
Un enfant est arraché à son père, des femmes, dont sa mère, salissent son père, des hommes protègent ces femmes et les accueillent.
Que peut penser un enfant de 6 ans dans ce marasme. La danse des 7 voiles, j’ai une photo de Fabienne au bord de sa piscine qui me fait penser à cette tradition orientale. C’est nathalie, sans doute en présence d’adrien qui a commit cette image avec son appareil. Je ne peux être tenu responsable des scandales que nathalie a laissé derrière elle. J’ai aussi une caisse de photo sur diapositive, je dois les jeter  aussi peut être, j’ai des courriers de nathalie que je n’ai ni ouvert pas respect, ni détruit car j’attends qu’elle me dise qu’en faire, suis-je receleur comme son avocat le laisse sous entendre  ?
J’aimerais entendre un autre conseil que celui de me taire !
Adrien lira ces textes dans 15 ans, il ne devra pas souffrir des délires des lakhdaris. Je lui apprendrai la distance et le pardon. Laissons à cette famille leurs souffrances. Mais protégeons Adrien

Où est la morale?

UN blog est fait pour vivre. L’anecdote de l’action en justice de mes opposants, à l’exception du représentant marocain qui montre ainsi ses qualités humaines, est la démonstration de l’instrumentalisation de la justice.
J’ai volontairement retiré les photos de fabienne Lakhdari nue. Le simulacre de justice que l’on cherchait à m’opposer étant basé sur un droit à l’image et sur des mensonges, vol des photos, je n’ai pas souhaité leur laisser un os à ronger. En préparant mon dossier de défense, sur les 2 ans d’archives photographique qui me reste, en vidant  l’appartement familial les 2 sœurs ont emporté les 3 copies de sauvegarde des archives familiales, (dissimulation de preuves ?),
 Moi-même, bien que les réprouvant déjà à l’époque, je n’ai pas agi avec suffisamment de fermeté. Je ne me rendais pas à Rabat mais je laissais ma femme s’y rendre. Je suis responsable de ne pas avoir revendiqué une autorité qui n’existe plus légalement, l’autorité paternelle.
Est-ce que je devais demander une action de la justice à l’époque conjugale ?  Sur quelle base ?
J’estime que  dénoncer  les pratiques exhibitionnistes que subit mon fils chez sa tante avec  le consentement de sa mère est de mon devoir. Je l’ai fait légalement à plusieurs reprises en présentant les photos à la police depuis décembre 2009.
Je n’ai reçu aucun soutien de la justice française sur ce sujet !
Toute mes actions en justice sont en cours, une lenteur angoissante lorsque l’on imagine mon fils vivant dans cette ambiance que je qualifie comme délétère.
 

jeudi 28 octobre 2010

Procédure outrancière

Je viens de recevoir une lettre d’avocat complètement incohérente.
Bien que  la résidence de mon fils soit fixée au 59 rue saint Blaise à Paris, et qu’une interdiction de sortie du territoire français ait été ordonnée le 20 mai 2010, la demeure de mon fils est déclarée chez M Benbella à rabat au Maroc. Sa cliente ne lui avait peut être pas tout dit ?
Ce même avocat m’a même assigné en référé en des termes ronflants, je me suis présenté sans rencontrer aucune opposition, j’étais attendu pour 11 h le mercredi 27 octobre devant le vice président du TGI de Paris, mais cet avocat n’avait pas cru bon de signaler qu’il ne souhaitait pas persister dans sa demande. Sa cause était sans doute perdue d’avance, une erreur de procédure peut-être ?
Maintenant, ce même avocat prétend m’importuner pour ce blog qui était cité en page 4 du  procès verbal  de constat  réalisé par huissier le 24 et 29 Septembre et pour lequel il n’avait rien retenu, négligence ou calcul ?.
L’affirmation trompeuse prétendant que j’ai copié les informations du blog « enlèvement d’enfant » sur le blog « retrouver  adrien » ne peut être qu’une manœuvre cherchant à me décrédibiliser. De plus copier les informations d’un blog mis en cause par un référé sur un autre blog serait ridicule. Je me permets de signaler que ce blog date du 1 septembre 2010 et de fait antérieur au blog" enlèvement par la mère". Ceci est aisément contrôlable  chez l’hébergeur.
L’objectif de ce blog est la défense d’Adrien, mon fils. J’ai signalé à la police française les agissements de Fabienne Lakhdari le 24 décembre 2009, J’ai remis des photos compromettantes à la police française dans le cadre de la plainte pour enlèvement avec complicité le 11 mai 2010. Nathalie doit prochainement être entendue dans le cadre de l’instruction de cette plainte.
La conclusion de cette lettre me recommandant « de transmettre ce courrier à l’avocat auquel ma société a coutume de confier la défense de ses intérêts »  montre la légèreté  que cet avocat apporte à la rédaction de ses courriers, je suis un particulier et cette affaire est purement privée.

Bien que devant l’urgence de la situation, cet avocat devait me signifier  ses menaces par courriel le 26 octobre et je devais me justifier dans l’heure , le 28 à 21 h je n’ai que la lettre recommandée en main, encore une erreur ?
Je me souviens d’un temps où les erreurs d’avocat étaient lourdement sanctionnées, ce qui garantissait le sérieux de cet ordre .

Ni le fond, ni la forme, que nous reste-t-il ?
Un enfant de 6 ans séduit par la nudité d’une femme de 48 ans. .
Que doit faire un père dans cette situation?

samedi 9 octobre 2010

Souffrances du père

Lorsque l'on est face à un enlèvement d'enfant, surtout d'un fils de 5 ans et demi, on pense à l'enfant avant tout.
Le cataclysme que représente pour lui cette fuite, cet éloignement d'un parent par un autre, la perte de tous ses repères de vie, sa chambre, son quartier, son école, sa vie d'enfant, la présence de son père les images de protection qui s'y rattachent. La mère détruit tout.. Effectivement l'enfant se raccroche à ce qu'on lui laisse, le fameux syndrome de Stockholm, mais il sait que ce à quoi il se raccroche sont ses bourreaux.
Mais le père qui subit cette déchirure qu'en dit on?
Le père doit brider ses réactions instinctives. Il doit accepter de savoir son fils entre des mains qu'il considère mal intentionnées sans rien faire. Il doit subir la violence de l'agression sans répondre et abandonner son fils à une justice trop lente, obligatoirement trop lente.
Lorsque qu'un conflit de société se greffe sur la situation, une société de pouvoir féodal comme au Maroc et une culture de citoyen comme en France, la déchirure est complète. La justice Française doit se confronter à un comportement territorial, la terre du Maroc est soumise à son suzerain, le droit marocain est basé sur ce concept . Que l'on ne me parle pas du Canada ou de l'Allemagne, ces pays défendent des ressortissants, un citoyen canadien qui se réfugie au Canada est défendu par le droit canadien, pareil en Allemagne, cela est légitime. Mais je parle d'une personne française, avec son fils français, sans aucun lien avec le Maroc, et qui exploite les usages de passe droit marocains pour s'accaparer un enfant en exclusivité au détriment du père et de l'enfant.
Le père ne peut même pas faire appliquer les décision de justice, la justice française est bafouée.
je suis fier de ma culture que le monde entier nous envie. Nous n'avons peut être pas le monopole du savoir vivre, mais nos usages sont reconnus pour leurs délicatesses.
Mes propos sont de l'ordre du désir de transmettre une tradition de savoir vivre. je désire transmettre une qualité de vie dont je me considère héritier.
Mais je m'égare encore, la souffrance du vide. J'ai comblé le déménagement des affaires d'Adrien en rachetant une garde robe pou l'enfant, J'ai mis sa chambre à des "normes" de petit garçon, un bureau une bibliothèque, un lit, des rangements. L'appartement est prêt à l'accueillir, mais je suis conscient que je ne le connais plus. Deux femmes et deux hommes m'ont privé d'une étape de ma vie et je ne peux rien faire que harceler une administration trop lourde pour un homme.
On me répond "divorce", mais le divorce n'est qu'une relation à la femme, le divorce est consommé et vécu. Elle n'a même pas voulu en parler, c'est régler. Les décisions de justice me confiant la résidence de l'enfant sont bafouées La première requête demandant la déchéance de l'autorité maternelle était nécessaire pour un préliminaire au divorce.
Mais je m'oublie encore, ce risque d'idée fixe, d'obsession mono maniaque avec lequel je vis et que je dois contrôler, comment m'en guérir! Je rationalise mon émotion, mais ce que je ressens c'est la blessure lier à l'incapacité d'accomplir ce que je souhaite, une frustration de protection, de transmission, on me fait violence contre ma nature de père.

vendredi 1 octobre 2010

reflexions au calme

Les réactions sont parfois surprenantes. L'entregent des interlocuteurs
 influence naturellement les jugements. Dans la normalité de nos relations les points de vue se forgent aussi sur l'image de l'autre. Comment croire l'absurde, un enlèvement parental sans cause réelle, une pulsion qui devient une montagne par les enjeux et les intervenants.
Je suis sans nouvelle de mon fils depuis 5 mois, un appel sans exécution des mesures provisoires, la mère enferme son fils dans son délire, la justice doit plier devant son refus.