mercredi 22 septembre 2010

Appel sur ordonnance.

Les méandres des  procédures. Après trois mois de silence, je reçois une notification d'appel, les délais de réflexions sont très longs et ne doivent pas être considérés comme un abus de procédure, même si un enfant de 6 ans est séparé de son père pour être mis sous la protection de "l'amour " de son oncle et de sa tante.
La mère est faible, le divorce est accepté par les deux parties, le lieu de vie de l'enfant ne peut être que la France, l'acharnement pour le Maroc n'est qu'un délire.

Ce blog est l'occasion de montrer l'inanité de personnes qui pour assouvir des pulsions mettent en péril la stabilité d'un enfant. Élever un petit garçon contre l'autorité de son père est un acte de barbarie. La mère peut rentrer en France comme elle y a toujours vécue. Les hasards de sa naissance ne confèrent pas un droit de territorialité pour un enfant qui présente une généalogie Parisienne de 150 ans.

mardi 21 septembre 2010

Perspectives

Enlever par la ruse un enfant à l'étranger, empêcher son père de communiquer avec lui, établir un signalement de harcèlement téléphonique pour 3 appels par jours aux heures ouvrables, forcer le passage en voiture en accélérant au risque de blesser  la personne visée, inviter à la violence en écrivant des messages de provocation puérile, ne pas retirer les lettres recommandées, s'enfuir, mentir, se cacher. Tout cela est du registre de la femme outragée en plein délire . L'objet de l'outrage est inconnu, que me reproche t on dans cette affaire à part le fait de soustraire mon fils aux pratiques de sa mère et de sa tante. Mes plaintes et mains courantes date depuis décembre 2009, les femmes s'étaient déjà cachées en utilisant ma voiture que je leur avait confié, dans un appartement que j'avais payé pour les sports d'hivers et auquel elles m'ont refusé l'accès en signalant une "peur", j'étais à la gare pour passer les fêtes de fin d'année et faire du ski avec mon fils.

dimanche 19 septembre 2010

Indulgence devant le délire ?

Indulgence devant le délire ?
Dans sa lettre me signifiant son départ pour le Maroc, mon ex-femme ,nathalie, exprime fermement son installation au Maroc en compagnie de mon fils. Aucune ligne, aucun mot ne peut laisser croire à un acte irraisonné. Elle s'installe au Maroc sous la protection de son beau-frère auquel elle confie mon fils. Elle n'envisage à aucun moment que je puisse exprimer une désapprobation à cette situation. Mon fils part au Maroc sans que je n'ai été consulté .
Qu'une femme déséquilibrée agisse ainsi....c'est envisageable, qu'une femme de 47 ans (fabienne, la soeur) en mal d'enfant, pourquoi pas, qu'un chef d'entreprise établisse un protocole d'embauche pour une femme ne présentant aucune expérience professionnelle sur le poste concerné, au point où nous en sommes, mais qu'un haut fonctionnaire soit complice au premier plan en accordant l'hospitalité et sa protection à une mère en situation d'enlèvement d'enfant c'est l'apothéose dans le délire.

L'offense qui nous est faites à moi et à mon fils l'est par des pieds nickelé de seconde zone. Je ne sais que penser de ces "élites" , comme Nathalie les présente, qui se comportent ainsi,. Une personne sensée parlerait d'enfantillages, l'histoire n'est plus crédible.
Je pense sincèrement que mon fils va revenir prochainement, mais la famille et les relations   de sa mère seront discréditées, les courriers que son grand père m'a envoyé ne seront qu'une perle de plus à cette histoire sordide. 

Si cela ne se passe pas ainsi, c'est que la justice française ne peut faire respecter les accords avec le Maroc...

jeudi 16 septembre 2010

Colère vis à vis des institutions


Mon premier signalement date du 23 décembre. Je signalai que contrairement à nos accord ma femme n'était pas venue me chercher à la gare de Grenoble alors que j'arrivais de Paris, et que je m'inquiétais du comportement de ma belle soeur sur mon fils. Que mon fils subisse les exhibitions de sa tante ne perturbe pas l'ordre public, aucune suite ne fut donnée à ce signalement.
Lorsque le 28 décembre je signale que mon épouse s'est enfuie de l'appartement avec mon fils, ma belle soeur conduisant ma voiture, là encore il n'y avait pas perturbation de l'ordre public, je m'étais écarté pour ne pas être renversé par ma voiture, donc pas de blessé.
Lorsque le 29 décembre je signale que ma femme a vider toute ses affaires et celles de mon fils, on me rétorque qu'elle peut partir en vacances.
Lorsque le 5 janvier je signale que mon fils ne s'est pas présenté à l'école, on me rétorque que l'école maternelle n'est pas obligatoire et lorsque j'esprime ma crainte qu'elle s'enfuie à l'étranger on me dit d'entamer une procédure.
Lorsque mon épouse prétend que son avocat m'a envoyé une lettre AR pour me signifier un début de procédure de divorce par consentement mutuel, que je ne reçois pas cette lettre et que l'on ne me présente pas le courrier orginale, je ne dois pas considérer que mon épouse est en train de gagner du temps pour partir au Maroc, on me rassure.
En revanche lorsque mon épouse signale un harcèlement téléphonique pour 3 appels par jour, on me convoque pour me signaler la violence de mon comportement. 2 poids, 2 mesures je suis un homme responsable face à une pauvre femme dans le désarroi.
J'ai déjà connu un divorce, je ne souhaitais pas imposer ce déchirement à mon fils Adrien. J'ai donc demandé la garde de mon fils dès ma première lettre entre avocats. Nathalie trouvant cette demande excessive s'est réfugiée chez sa soeur au Maroc.
La lenteur de la police française et la lourdeur de lois accordant une confiance excessive aux mères à permis cette situation, mes demandes pour bloquer le passeport se sont heurtées à des procédures trop lourdes, aucune procédures d'urgence ne s'est présenté à moi. Aucune autorité ne m'a reçue face à mes signalement.
Je ne peux que considérer une complicité de la justice française dans cette affaire.
Ma belle soeur et son associé pour organiser la logistique en France, la même belle soeur et son mari pour recueillir mon fils et sa mère, et l'enfant disparait.
Surtout ne pas faire appel à des solutions faciles, sortir l'enfant par Algésiras ou Oujda seraient des solutions qui froisseraient les autorités marocaines, la police française réagirait pour défendre les accord avec le Maroc !
Attendre, même après l'ordonnance demandant que l'enfant rentre en France, aucun impact sur une autorité marocaine inflexible sur son droit d'asile pour les mères fugueuses.
La France ne bouge pas pour sauver un de ses ressortissants de 6 ans, on déplore cette situation, mais le père doit se taire. La justice suit son cour, l'enfant est en fuite depuis 10 mois, à l'étranger depuis 8 mois, sans aucune relation avec son père depuis 4 mois, mais le père doit respecter la loi.

mardi 14 septembre 2010

chaque jour une tâche

Aujourd'hui dossier médiation internationale.
Il faut constituer le dossier, situation juridique, annuaire des intervenants, historique des faits ponctués des actes juridiques (mains courantes, plaintes). Je ne peux que formuler mon objectif : que mon fils soit en France loin de sa tante.
Objectif primaire d'un père qui souhaite offrir un cadre de vie correct à son fils.
j'espère que la mère fera passer l'intérêt de son fil avant celui de sa soeur.

Où sont les intérêts?

Le père souhaite élever sont fils dans le cadre d'une éducation française. Je me considère même comme parisien avant d'être français. Je souhaite transmettre ces racines à mon fils avec toute la fierté de son patrimoine culturel et historique. Je pense l'avoir déjà fait avec mon fils ainé, même s'il vit à Barcelone depuis 6 ans je pense qu'un ancrage est nécessaire à l'homme. Plus cet ancrage est fort et fier, plus l'homme peut s'adapter, il porte son territoire.
La mère semble exprimer la même idée concernant le Maroc, sauf que son comportement a toujours été opposé à cette idée. Dès qu'elle a pu partir, elle est venue à Paris. Elle n'a jamais exprimé un intérêts pour le Maroc, mis à part les "bonnes". Elle ne parle pas arabe, bien qu'elle est vécue 18 ans à Meknès, plus un retour de quelques mois après ses échecs en France. Elle n'a jamais manifesté le désir que son fils est un minimum de culture marocaine, ni langue, ni beaux arts. D'ailleurs dans son dossier de divorce et dans sa lettre signifiant son départ, il n'est mentionné que de prétendus désirs de regroupement familiale, son père qui résident depuis plus de 30 ans en banlieue parisienne et une demie soeur lyonnaise qui souhaiteraient se retirer au Maroc, en m'égarant je dirais foutaises et mensonges. Aucun reproche circonstancié n'est fait au père, il est même fait référence à une époque où je conciderais Nathalie comme une bonne mère, ce dont je ne me souviens pas d'ailleurs, curieux propos pour une attitude de mépris.
A part quelques attitudes de colère pulsionnelle, Nathalie ne présente rien de solide justifiant son installation au Maroc, à part son avenir professionnel.
Nathalie a décroché un contrat de stage comme responsable de communication dans une entreprise de décoration marocaine avec un salaire correspondant à un salaire français.
Nathalie n'a jamais fait de communication commerciale, elle faisait depuis quelques années une communication institutionnelle en étant responsable de la rédaction de la lettre Santé pharma. Publication de l'association Santé pharma. Aucun rapport avec l'animation de la communication d'une boutique.
De plus cette enseigne n'emploie qu'une vendeuse et une directrice, ses ressources financières sont très limitées, je sais tout cela car O gai liz, la société en question est dirigée par Alexandre Pallas chez qui nathalie s'est domiciliée administrativement à Paris après sa fuite. que fabienne , la soeur et complice de nathalie en est la directrice "artistique", de plus la survie de cette société nécessite fréquemment des injections de capital .
Donc si Nathalie n'a que peu de raisons pour fuir au Maroc, que la société ogailiz n'a que peu d'intérêts à s'attacher les services de Nathalie, où sont les motifs.
Là apparait la personnalité de la soeur et de son ascendant sur son mari et Nathalie. Nathalie voue à sa soeur une dévotion qu'elle qualifie de "fusion". Fabienne n'a pas d'enfant et Nathalie acceptait, voire favorisait une relation ambiguë entre Adrien et Fabienne, elles ont connu une situation identique dans leur enfance avec une femme, qui fut proche de leur mère à une époque et dont le rôle dans la famille n'était pas clair, nathalie m'a même dit qu'il y avait confusion avec la mère, mythomanie ou pas? pas clair. D'ici à faire le pas pour dire que Nathalie "offre" son fils à sa soeur, je ne suis pas loin de le penser, surtout devant la complaisance des photos.
Quant à Alexandre Pallas, son statut d'ex amant de fabienne , ses difficultés financières, son style de vie et , il se débat pour survivre et tel un noyé ne peut qu'entrainer les autres dans sa chute.
Mon fils est au milieu de cette mascarade de la vie. La justice m'interdit d'intervenir sans aucun fondement, seulement sur des procédures.

lundi 13 septembre 2010

les liens familiaux


L'enfant est issue d'une famille, nous ne pouvons parler de famille recomposée mai Adrien a un grand frère de 30 ans qu'il voyait régulièrement bien qu'il soit installé à Barcelone. La mère n'a jamais tenté de mettre son fils en relation avec son frère.
Cette rupture familiale, non justifiée, est un signe d'exclusion et d'ostracisme autour de l'enfant Adrien.
La mère souhaite souhaite enfouir son enfant dans sa propre histoire, quitte à amputer son fils de son héritage paternel.

Si cette démarche s'explique par un déséquilibre affectif de la mère et une soumission à sa propre soeur, elle est scandaleuse vis à vis de l'enfant. Les parents font trop souvent vivre les mêmes délires, la mère de nathalie s'était enfuie avec sa fille pour se réfugier chez ses parents. C'était en sens inverse, Maroc/France, mais c'était déjà en 1964.

samedi 11 septembre 2010

Pourquoi le père est inquiet


Le père ne souhaite pas que son fils de 6 ans participe aux jeux dont vous avez vu les photos à cette place. . le père l'a déjà signalé en décembre 2009 par main courante au commissariat du XX de paris . La mère prend ces photos de complaisance

vendredi 10 septembre 2010

présentation du cadre de vie de mon fils

ce n'est pas grave, ce n'est qu'un innocent jeu d'une femme de 48 ans sur un enfant de 6 ans. Ce n'est pas un oncle libidineux qui demande à sa nièce une petite gâterie. le père doit l'accepter bien qu'il l'ait signaler en décembre 2009, c'est une femme d'ambassadeur et au maroc ils n'ont pas les mêmes valeurs que nous.... Le père n'a qu'a prendre patience , l'enfant peut découvrir les jeux du paradis terrestre,

Riende nouveau

Rien de nouveau. la colère se raisonne. Mon fils est entre les mains d'étrangers, sa mère est persuadée que je suis dangereux pour mon fils, la justice française considère qu'adrien doit être avec moi, elle doit avoir ses raisons. La mère m'a accusé de harcèlement pour 3 appels par jour alors qu'elle était en fuite, la police l'a débouté, la mère m'a accusé de viol à un moment ou j'étais déjà au poste de police pour déposer un témoignage, alibi idéal qui m'a sauvé d'un très mauvais pas, une pauvre femme qui accuse un homme d'avoir abusé d'elle. Et ça continue avec l'enlèvement, signalé sous le terme de "soustraction" en février 2010, Monsieur restez calme, il ne faut pas troubler l'ordre. Une ordonnance avec signalement au procureur de Paris en mai 2010, vous comprenez en août les magistrat sont en vacances, il n'y a pas de priorité, votre fils est ailleurs, il ne trouble pas l'ordre public.
Une assignation au Maroc, par le biais d'un huissier marocain, on n'accepte pas le document, oser déranger un homme de loi marocain....
un monde de tricherie et de faiblesse, la france devant le maroc, un père qui ronge son frein et a qui l'on conseille de se calmer, car son fils est en OTAGE.
je n'ai toujours pas de certificat de scolarité, la mère montre sa volonté de rompre les liens parentaux.

jeudi 9 septembre 2010

le calme revient...

Le calme revient, les pulsions sont contrôlés. Le père doit protéger son fils, lorsque violence est faites à l'enfant, que doit faire le père? Attendre la justice intervienne et attendre réparation? Lorsque la mère est l'auteure de ces violence en confiant son fils à l'"amour" de son oncle que doit faire le père? Signaler à la justice et le Maroc refuse une assignation de la justice française. Que fait la justice française? elle respecte les accords internationaux alors que les états "voyou" se rient de nous?
Pour l'instant, ils tiennent mon fils en otage, le terme n'est pas trop fort, ils m'empêchent de parler à mon fils depuis trois mois, bientôt quatre.
Je pense qu'adrien sortira grandit de cette épreuve, le ridicule des arguments dont on l'abreuve ne tiendra pas longtemps, les vieillards qui jouent avec lui seront rapidement démasqués par l'enfant. Je ne suis pas inquiet. La mère aura été instrumentalisée pour satisfaire les jeux de petits pachas marocains, adrien devra se souvenir de ce passage pour apprendre à se méfier de ces gentillesses poisseuses.
la réparation viendra de faît.

mercredi 8 septembre 2010

un jour de colère

Une journée de colère, le procureur du roi de Rabat se drape dans une autorité pour réfuter une ordonnance, un artifice de procédure sur un dossier qui a priori ne le concerne pas. Son code de l'honneur lui commande sans doute de protéger une citoyenne française née d'une mère française et d,un père français . Si les françaises peuvent bénéficier d'une telle sollicitude il faut que cela se sache.
Cela ne g7ne pas la procédure fançaise. Mais que le retour de mon fils français soit retardé par un magistrat étranger me semble suspect.
On me conseille le calme alors que mon fils est retenu à l étranger malgré ma volonté et l'autorité française, une ordonnance d'interdiction de sortie du territoire français a été formulée pour mon fils il y 3 mois.
Je considère que cette situation est une offense tant à mon égard qu'à l'égard de la justice française.
mais nous n'en sommes plus là,

lundi 6 septembre 2010

encore une journée


La lenteur de la justice se comprend par sa prudence, mais il y a des cas ou c'est incompréhensible! un père au quel la justice confie la garde se son fils car la mère est incapable, un enfant que le père a signaler comme étant en danger, un enfant enlevé par un homme agé, une femme exhibitionniste et un malade en fin de vie, une mère qui se mat sous la dépendance économique de ces gens là, et la justice ne bouge pas. les plaintes sont instruites, elles restent sur les bureaux. On nous écouyte poliment depuis les aquariums administratifs et puis c'est tout, pas de réponse, cela fait 9 mois que le délire se poursuit, controlez vous, votre fils est en danger mais on s'en f... il est au Maroc, vous comprenez......

dimanche 5 septembre 2010

pensées d'un dimanche de retour de vacances

au marché ce matin les amis demandent des nouvelles d'Adrien, discussion de terrasse au poisson bleu. Je raconte mon coup de blues avec "l'exequature", mes projets concernant la mère...
Au non de la protection de la mère, je dois poursuivre mon raisonnement juridique jusqu'à ce qu'elle n'ait aucun droit pour pouvoir protéger mon fils. Tant qu'elle a une once de pouvoir elle sera toxique. j'attends le certificat de scolarité pour le transmettre à l'inspection d'académie.

samedi 4 septembre 2010

Une photo souvenir



Maintenant une image pour voir l'enfant. Il était fier avec avec la cravate de son père.
Un élan a été interrompu, espérons que cela ne soit pas une rupture. La mère a négligé un tel risque.
Je me ressaisi, aujourd'hui pas de mauvaise nouvelle.
Il faut aller jusqu'à la fin de la procédure française pour que la justice marocaine daigne examiner mon cas. Cette situation est sordide et scandaleuse. La France respecte des accords face à des états qui ne les respectent pas. Est-ce légitime?
Adrien rentrera en France pour ne pas devenir comme les gens qui veulent le détruire par jalousie.

vendredi 3 septembre 2010

une journée plus calme

pas de démarche ni de découverte aujourd'hui. je digère ce que j'ai appris, il faut aboutir complètement les procédures pour commencer les procédures marocaines. Pour obtenir l'exequatur du jugement français, c'est à dire la reconnaissance par l'administration marocaine d'une décision juridique française, il faut qu'il n'y ait plus de possibilité de recourt possible. Donc faire aboutir le divorce en priorité. Le pénal suivra. L'incapacité de la mère à permettre des relations régulières avec l'enfant et même sa volonté d'empecher les relations de l'enfant avec le père, devront se règler ultérieurement

jeudi 2 septembre 2010

rentrée des classes

Une petite excursion dans les méandres. La France respecte systématiquement les accords internationaux, certains pays s'accordent des libertés. Ce qui veut dire que je dois vérifier si mon ex-épouse s'est fait attribuer la garde de l'enfant par la justice marocaine, dans ce cas je dois faire reconnaitre mon droit en informant l'autorité marocaine de mon désir de retrouver mon fils en entamant une procédure de retour en France. Pour l'instant je dépose une main courante en complément de plainte en signalant la rupture volontaire des relations pere fils par la mère depuis plus de 3 mois.
L'école d'adrien me demande un certificat de scolarité du fait de l'absence de mon fils à la rentrée scolaire de ce matin.

mercredi 1 septembre 2010

le billet du soir

et aujourd'hui, quoi de neuf!
2 heures au téléphone pour s'entendre dire que le dossier est en attente de décision.
J'ai appris qu'il y avait un service de médiation internationale au ministère de la justice, je l'ai saisie d'une demande de tentative de conciliation...
Il semblerait que je dois faire une demande de retour de l'enfant auprès du procureur général de Rabat. Cela ne fera qu'une procédure dans une autre juridiction, civile, pénale et maintenant Maroc, heureusement qu'il y a 2 autorités centrales pour regrouper tout cela.
Et l'enfant dans tout cette histoire, et le père ? énergie qui se renouvelle, espoir qui s'entretient d'action quotidienne.

Objectifs et déclaration

Simplement pour raconter.
Partager au fil de l'eau son histoire, sans colère, en envisageant les solutions.
Voila l'objectif de ce Blog.
Pas d'exhibition tapageuse, simplement une narration. Bien entendue en espérant un échos, une reconnaissance, des conseils, un soutien.
Commençons.
Une séparation de couple banale qui entraine un enfant de 6 ans dans une histoire de course poursuite . Une mère qui pour exprimer son autonomie emmène son fils au Maroc. Un père qui souhaite élever son fils à Paris.
Tout le monde est français. La mère est née au Maroc de parent français nés en France et est arrivée en France il y a 22 ans. Le père est Parisien et fiers de l'être.
Une soeur sans enfant qui joue à la bonne fée en accueillant sa soeur à Rabat, des hommes vieillissants s'accrochant à la vie en soutenant une mère en plein désarrois.
le reste n'est que billevesée comme dirait Achille Talon . Des comportements de violence irresponsables, des fuites en voiture, des mensonges, un sentiment de toute puissance que la communication téléphonique exaspère.
Tout cela à commencé en décembre 2009.
Depuis juin 2010, je n'ai aucune nouvelle, je téléphone tout les jours, j'écris tous les jours, aucune réponse.
Une ordonnance m'accorde la résidence de l'enfant, cette situation est trop dure pour la mère. Je propose d'aller chercher mon enfant, on me répond que la chancellerie n'est pas habilitée à me soutenir.
Voila pourquoi je commence ce blog.
j'ai signalé un enlèvement, la plainte est enregistrée sous un numéros de parquet et est instruite.
j'ai signalé une non présentation d'enfant, la plainte est retenue.
j'ai fait une assignation en divorce en respectant les conditions de l'ordonnance, aucune réponse.
J'ai signalé mon opposition au style de vie que la mère fait connaitre à mon fils, aucune réponse.
Cette situation est oppressante. j'estime que mon fils est en danger. Un enfant français sans père élevé au Maroc dans un cadre qui n'est pas le sien n'offre pas les conditions de construction de personnalité optimum.
Je suis actuellement sans emploi, ce qui me permet de poursuivre cette histoire. Mais l'énergie nécessaire pour déplacer la machine judiciaire m'empêche de développer les activités que je souhaite promouvoir.
Voila la première réflexion, si la justice doit être répressive,qu'en est-il des victimes?
Un conflit avec prise d'otage, car je considère la situation comme telle, nécessite une procédure d'urgence.
Je vais retenter les services d'aides aux victimes, ce blog m'a aidé.