mardi 14 septembre 2010

Où sont les intérêts?

Le père souhaite élever sont fils dans le cadre d'une éducation française. Je me considère même comme parisien avant d'être français. Je souhaite transmettre ces racines à mon fils avec toute la fierté de son patrimoine culturel et historique. Je pense l'avoir déjà fait avec mon fils ainé, même s'il vit à Barcelone depuis 6 ans je pense qu'un ancrage est nécessaire à l'homme. Plus cet ancrage est fort et fier, plus l'homme peut s'adapter, il porte son territoire.
La mère semble exprimer la même idée concernant le Maroc, sauf que son comportement a toujours été opposé à cette idée. Dès qu'elle a pu partir, elle est venue à Paris. Elle n'a jamais exprimé un intérêts pour le Maroc, mis à part les "bonnes". Elle ne parle pas arabe, bien qu'elle est vécue 18 ans à Meknès, plus un retour de quelques mois après ses échecs en France. Elle n'a jamais manifesté le désir que son fils est un minimum de culture marocaine, ni langue, ni beaux arts. D'ailleurs dans son dossier de divorce et dans sa lettre signifiant son départ, il n'est mentionné que de prétendus désirs de regroupement familiale, son père qui résident depuis plus de 30 ans en banlieue parisienne et une demie soeur lyonnaise qui souhaiteraient se retirer au Maroc, en m'égarant je dirais foutaises et mensonges. Aucun reproche circonstancié n'est fait au père, il est même fait référence à une époque où je conciderais Nathalie comme une bonne mère, ce dont je ne me souviens pas d'ailleurs, curieux propos pour une attitude de mépris.
A part quelques attitudes de colère pulsionnelle, Nathalie ne présente rien de solide justifiant son installation au Maroc, à part son avenir professionnel.
Nathalie a décroché un contrat de stage comme responsable de communication dans une entreprise de décoration marocaine avec un salaire correspondant à un salaire français.
Nathalie n'a jamais fait de communication commerciale, elle faisait depuis quelques années une communication institutionnelle en étant responsable de la rédaction de la lettre Santé pharma. Publication de l'association Santé pharma. Aucun rapport avec l'animation de la communication d'une boutique.
De plus cette enseigne n'emploie qu'une vendeuse et une directrice, ses ressources financières sont très limitées, je sais tout cela car O gai liz, la société en question est dirigée par Alexandre Pallas chez qui nathalie s'est domiciliée administrativement à Paris après sa fuite. que fabienne , la soeur et complice de nathalie en est la directrice "artistique", de plus la survie de cette société nécessite fréquemment des injections de capital .
Donc si Nathalie n'a que peu de raisons pour fuir au Maroc, que la société ogailiz n'a que peu d'intérêts à s'attacher les services de Nathalie, où sont les motifs.
Là apparait la personnalité de la soeur et de son ascendant sur son mari et Nathalie. Nathalie voue à sa soeur une dévotion qu'elle qualifie de "fusion". Fabienne n'a pas d'enfant et Nathalie acceptait, voire favorisait une relation ambiguë entre Adrien et Fabienne, elles ont connu une situation identique dans leur enfance avec une femme, qui fut proche de leur mère à une époque et dont le rôle dans la famille n'était pas clair, nathalie m'a même dit qu'il y avait confusion avec la mère, mythomanie ou pas? pas clair. D'ici à faire le pas pour dire que Nathalie "offre" son fils à sa soeur, je ne suis pas loin de le penser, surtout devant la complaisance des photos.
Quant à Alexandre Pallas, son statut d'ex amant de fabienne , ses difficultés financières, son style de vie et , il se débat pour survivre et tel un noyé ne peut qu'entrainer les autres dans sa chute.
Mon fils est au milieu de cette mascarade de la vie. La justice m'interdit d'intervenir sans aucun fondement, seulement sur des procédures.

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