jeudi 16 septembre 2010

Colère vis à vis des institutions


Mon premier signalement date du 23 décembre. Je signalai que contrairement à nos accord ma femme n'était pas venue me chercher à la gare de Grenoble alors que j'arrivais de Paris, et que je m'inquiétais du comportement de ma belle soeur sur mon fils. Que mon fils subisse les exhibitions de sa tante ne perturbe pas l'ordre public, aucune suite ne fut donnée à ce signalement.
Lorsque le 28 décembre je signale que mon épouse s'est enfuie de l'appartement avec mon fils, ma belle soeur conduisant ma voiture, là encore il n'y avait pas perturbation de l'ordre public, je m'étais écarté pour ne pas être renversé par ma voiture, donc pas de blessé.
Lorsque le 29 décembre je signale que ma femme a vider toute ses affaires et celles de mon fils, on me rétorque qu'elle peut partir en vacances.
Lorsque le 5 janvier je signale que mon fils ne s'est pas présenté à l'école, on me rétorque que l'école maternelle n'est pas obligatoire et lorsque j'esprime ma crainte qu'elle s'enfuie à l'étranger on me dit d'entamer une procédure.
Lorsque mon épouse prétend que son avocat m'a envoyé une lettre AR pour me signifier un début de procédure de divorce par consentement mutuel, que je ne reçois pas cette lettre et que l'on ne me présente pas le courrier orginale, je ne dois pas considérer que mon épouse est en train de gagner du temps pour partir au Maroc, on me rassure.
En revanche lorsque mon épouse signale un harcèlement téléphonique pour 3 appels par jour, on me convoque pour me signaler la violence de mon comportement. 2 poids, 2 mesures je suis un homme responsable face à une pauvre femme dans le désarroi.
J'ai déjà connu un divorce, je ne souhaitais pas imposer ce déchirement à mon fils Adrien. J'ai donc demandé la garde de mon fils dès ma première lettre entre avocats. Nathalie trouvant cette demande excessive s'est réfugiée chez sa soeur au Maroc.
La lenteur de la police française et la lourdeur de lois accordant une confiance excessive aux mères à permis cette situation, mes demandes pour bloquer le passeport se sont heurtées à des procédures trop lourdes, aucune procédures d'urgence ne s'est présenté à moi. Aucune autorité ne m'a reçue face à mes signalement.
Je ne peux que considérer une complicité de la justice française dans cette affaire.
Ma belle soeur et son associé pour organiser la logistique en France, la même belle soeur et son mari pour recueillir mon fils et sa mère, et l'enfant disparait.
Surtout ne pas faire appel à des solutions faciles, sortir l'enfant par Algésiras ou Oujda seraient des solutions qui froisseraient les autorités marocaines, la police française réagirait pour défendre les accord avec le Maroc !
Attendre, même après l'ordonnance demandant que l'enfant rentre en France, aucun impact sur une autorité marocaine inflexible sur son droit d'asile pour les mères fugueuses.
La France ne bouge pas pour sauver un de ses ressortissants de 6 ans, on déplore cette situation, mais le père doit se taire. La justice suit son cour, l'enfant est en fuite depuis 10 mois, à l'étranger depuis 8 mois, sans aucune relation avec son père depuis 4 mois, mais le père doit respecter la loi.

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