dimanche 13 novembre 2011

réflexions

envie de parler sans contrainte. Simplement, histoire de couple, de responsabilités parentales. Les enfants ne peuvent comprendre les conflits parentaux. Les facililités actuelles autour du divorce et  des séparations, la suspicion autour de l'homme et du père, de la normalité  présumée  de la "tendresse" maternelle.
Les enfants sont malmenés, ce n'est pas pour cela qu'ils feront de mauvais adultes, de mauvais parents, loin de moi cette pensée et presque au contraire.
Les familles de mes épouses se sont accaparées mes enfants, oui je dis bien les familles de mes épouses. Les choses se succèdent, j'en suis conscient. J'ai des responsabilités dans mes critères de choix.
Mon fils Adrien est retenu au Maroc par deux soeurs et , peut être un homme, mon beau frère, qui se qualifie de "garant". C'est aussi l'ambassadeur qui exhibe ses couilles à 70 ans, elles pendouillent normalement, voir les photos précédentes pour factualiser les faîts, termes admininistratifs s'il en faut. Nous sommes en plein délire, Nous parlons d'un enlèvement d'enfant, les personnes condamnées pour l'enlèvement sont au Maroc, mandats d'arrêt multiples, français, europe, interpol, marocain, une banale affaire de droit commun, les adresses sont connues, les intéressés sont identifiés et rien ne se passe.
Un enfant de 7 ans est ballotté dans une cavale de midinettes désaxées, les décisions de justices sont formelles, rien ne se passe.
Pour réagir, je n'ai que mon énergie, chaque jour des appels, des mails, des courriers, des rendez vous (rares).
j'aurais réagi il y a deux ans , j'aurais été condamné pour violence, ces violences sont excercées depuis deux ans sur un enfant de 7 ans, c'est normal, une mère est autoriser à braver la justice. Encore aujourd'hui j'ai rencontré l'ancienne secrétaire de Nathalie, un faciès de servilité stupide, je ne dois pas lui parler, la voix de sa conscience l'ettouffe.
Et l'on accuse les parents qui baissent les bras, les pères qui ne payent pas les pensions lorsque les enfants ne viennent plus les voir pour ne pas avoir à choisir.
Nous sommes en crise de société, et pas seulement en politique ni à la bourse.
Il y a quelque chose de pourris au royaume de truanderie.....(brassens)

lundi 7 novembre 2011

interrogations

malgré mes recommandations, plus proches de sommations  que d'invitations je le concède, mais avec un fond de conseils avisés, pas de nouvelles de mon fils, les soeurs jouent toujours aux pétroleuses.
Je n'ai pas voulu jouer aux justiciers, nous connaissons les résidences d'accueil, la durée de la recherche ne fait qu'alourdir la faute...
La solution est dans l'expression formel d'un accord pour l'intérêt de l'enfant.
A ce jour, il est fort probable que la gente féminine ait coloré l'image du père d'atours peu valorisants pour l'enfant, il ne faut pas oublier qu'Adrien est un petit garçon de 7 ans, l'identification masculine passe en général par le père.
Que pratique ces femmes ? la fuite !
Nathalie se cache dans un quartier plus que populaire, Adrien est isolé au milieu de houris censées le protéger alors que l'enfant voit qu'elles souhaitent simplement se l'accaparer. Quelles images l'enfant gardera de cette aventure ? La folie féminine, la sensualité d'une tante, le désespoire de ces femmes , j'espère qu'il reconnaitra in fine la victoire du bon sens et d'une volonté.
J'espère qu'Adrien n'aura pas oublié ce que je lui ai dit il y a 20 mois, il aura connu le déclin au Maroc,
il pourra se ressourcer chez lui, sa chambre l'attend, retour dans la sécurité après le délire.

lundi 31 octobre 2011

retour de mission

Fin du silence, j'étais à Rabat pour tenter de sortir mon fils de cette stupide histoire.
Pourquoi un silence de 6 semaines ?
Simplement une prudence, des inquiétudes quant à la collaboration des autorités marocaines.
Je me rendais à Rabat pour répondre à une convocation devant le tribunal d'instance de cette ville.
Convocation provoquée par les manoeuvres de la famille Chahid/Lakhdari, la cause étant déjà jugée par la justice française...
Mes inquiétudes ont été dissipées dès mon arrivée.
Les services du consulat de France étaient prévenus de mon arrivée et m'assuraient de leurs conseils et assistance aux moments forts de mon séjour.
Mes avocats qualifiaient ma situation d'enlèvement d'enfant et concentraient leurs efforts sur cet aspect.
La justice était lancée sur une demande de divorce, il fallait la réorienter sur l'enlèvement...
En 5 semaines, les efforts de chacun et l'accessibilité des autorités marocaines ont permis de mettre en place les conditions de l'exécution du jugement de soustraction d'enfant.
Mon regret est l'absence totale de référence aux convention de la Haye sur les intérêts de l'enfant. En 22 mois, l'enfant a connu 4 écoles, 2 mois d'errance, 4 résidences, et il échoue dans des conditions de vie inadaptées à ses habitudes, un appartement misérable dans un quartier trop populaire.
J'ai vu les soeurs Lakhdari et le protecteur Chahid, ces gens là se sont improvisés les protecteurs d'un enfant en le kidnappant, ils accaparent une vie, un devenir.
Un enfant innocent vit une tourmente car 3 adultes en veulent l'exclusivité. Les conditions de vie mettent l'enfant en situation de danger, tant physique que psychologique.
Nous pouvons espérer que la mère n'attende pas une intervention policière pour se présenter aux services sociaux du consulat. Il en va de son intérêt et de l'intéret de l'enfant. Ses conseils doivent la convaincre, la fuite n'est pas une condition de vie adaptée pour un enfant.

dimanche 25 septembre 2011

le secours du discour

Ce blog m'est d'un grand secours. En m'offrant la possibilité de m'exprimer clairement, sans ambages, sur mes angoisses concernant mon fils. Angoisses reconnues et justifiées par les décisions de justices, mais faire cesser le lavage de cerveau que subit mon fils sur son pays et son père revient à prendre des mesures drastiques sur une mère.
Nous sommes dans la prudence, factuellement l'enfant doit être mis hors d'atteinte de ses tourmenteurs, pratiquement est-ce que le remède ne présente pas des risques ?
Je pense que le "moindre mal", puisqu'il faut bien admettre cette expression relative, est de rendre Adrien à son univers initial.
La culture du Macdo et des bonnes qu'ont lui propose au Maroc ne présente pas les garanties pour l'avenir. D'ailleurs le Maroc est une terre d'émigration, dès qu'ils le peuvent, les marocains quittent leur pays. C'est une réalité factuelle. Même les riches partent. Les immigrés sont les retraités qui viennent profiter des bonnes et du soleil. Je ne pense pas que cette éducation soit profitable à mon fils.
On me reproche mes positions tranchées, lorsque je demande humblement quelles pourraient être les solutions, l'enfant , le père et la parentalité sont sacrifiés.
La situation et les attitudes sont scandaleuses et terribles. Pour faire admettre que Nathalie n'est pas marocaine et qu'elle utilise ce pays comme un brigand son refuge, tels les pirates Hollandais utilisaient Salé comme repère, je dois argumenter sans cesse.
Ces arguties, ces manoeuvres de pirate, ces procédures épuisantes  pour faire reconnaître à un enfant le droit à une vie épanouissante.
Je pense que ce que connaît Adrien est le plus grand fléau qu'un enfant puisse connaître,  sa mère lui interdit de voir son père. Mais l'expérience montre que les fléaux renforcent ceux qu'ils ne tuent pas. L'épreuve est dangereuse, la mère a choisi, des gens l'ont soutenue, nous verrons.
Il ne me reste que l'espoir dans l'adversité, j'aiderai mon fils à se remonter.

samedi 24 septembre 2011

peut on parler de la personnalité de l'enfant ?

Un enfant est une personne bénéficiant d'attributs dont la hiérarchie naturelle est les parents, les frères et soeurs, les grands parents, les oncles et tantes puis les collatéraux.

Concernant Adrien, que peut on dire, au premier niveau une mère en fuite au Maroc, aucun frère ni aucune soeur au Maroc, en revanche il en a 3 en France, aucun grand parent au Maroc, mort ou vif, au moment de son enlèvement il en avait 3 vivants en France, une tante au Maroc contre 2 tantes et un oncle en France. Les collatéraux ne présentent qu'une complémentarité.  Sur quoi repose une intervention marocaine vis à vis d'Adrien ?

Cette énumération montre la fragilité  des liens avec le Maroc.
De plus  au moment de la soustraction fabienne se déclarait résidente sur le sol métropolitain pour bénéficier  de la CMU, Nathalie se déclare toujours résidente en France pour les indemnités chômage, et le Maroc les protégerait ? Je ne peux y croire.

interrogation sur la fratrie

Adrien a une fratrie, un frère et deux soeurs. Les relations que l'enfant a nouée avec son frère sont, étaient fortes puisqu'elles ont été rompues par la soustraction.
Les craintes que la mère exprimait sur cette relation comme la renvoyant à un statut d'aïeul qu'elle craignait sans raison, elle est et restera la mère biologique d'Adrien.
Un point de vue éclairant le comportement des 2 soeurs. L'écart d'âge entre les deux frères est suffisamment réel pour justifier une perception particulière de la fratrie, 24 ans d'écart font une génération. Pour éviter qu'Adrien soit confié à son frère en cas de malheur, elle a voulu établir une "donation" de notre fils  à sa soeur.
Plutôt que de voir Adrien élevé par un jeune couple, peut être avec d'autres enfants à venir, elle préférait le confier à un couple vieillissant sans espoir d'enfant, Nathalie se comporte comme une mère porteuse pour sa soeur, sa soeur exploite cette domination.
Ce qui m'intéresse c'est Adrien. Le comportement de sa mère peut servir de cas d'école pour le rapport à l'enfant de ce type de mère.
Ma détermination s'appuyait sur un sentiment de dangerosité de ces femmes sur le développement psychologique de mon fils, ces réflexions, étayées par les faits probants, rationnalisent ce sentiment.

Le courrier de Nathalie confiant mon fils à "l'amour de sa soeur et de son maris", l'acharnement à creuser le fossé avec moi pour isoler l'enfant. Nous sommes dans une affaire de captation d'enfant.
Le jeu du divorce est secondaire, ces femmes sont en plein délire, une en mal d'enfant, la cadette en quête  de reconnaissance par son ainée.
Adrien n'est pas le jouet de 2 soeurs.

Conditions de vie de mon fils

Deux femmes retiennent mon fils loin de son père.

Elles tiennent à l'enfant des propos dévalorisants sur son père et son pays, bien que sa mère perçoive les allocations chômage françaises et que sa tante ait bénéficié des secours  aux soins pour les nécessiteux que la France alloue aux bénéficiaires des minima sociaux, son maris ne pouvait sans doute pas subvenir à ses soins, pauvre Maroc.

Un petit garçon de 7 ans évolue dans ce monde. La violence de ces femmes s'est exprimée dans les conditions de la soustraction. Le mépris des intérêts de l'enfant par cette rétention loin de ses repères est évident. Il y a  20 mois que l'enfant vit dans une ambiance de cavale, il sait qu'il a été enlevé pour faire du "tourisme", il sait que son père est opposé à cette situation.
Que 2 femmes aient des débordements, cela se conçoit, mais que l'on permette qu'un enfant les subisse sur une telle période, je suis surpris.

Peut on me définir l'intérêt que l'enfant a à connaître une telle situation ?

Les textes parlent des intérêts supérieurs de l'enfant. Où sont-ils ?

Je commence commence à penser à un déni de justice pour l'enfant.

Je précise que la justice française m'a confié les soins de l'enfant et que la mère est condamnée à 18 mois de prison ferme.

Cette affaire est 100 % française, la mère s'est enfuie au Maroc pour convenances personnelles, elle n'a aucunes origines marocaines, juste un grand-père algérien et un père venu  au Maroc  comme soldat français  du temps du protectorat.

Je me répète peut être, mais le scandale perdure.

vendredi 23 septembre 2011

la mise en abîme....

De la perversion de faire peur aux autres, de la mise en abime, vous serez responsable de mes actes !
J’assume mes actes.

J’estime que l’enlèvement de mon fils est une offense à l’enfant.

Les exhibitions que sa tante lui offre cherchent  à pervertir l’enfant, le sexe dévorant de la femme sans retenue, souvenez vous des photos.

La civilisation est mise en porte à faux  par de tels agissements, protéger les faibles, les femmes seraient faibles puisqu’elles bénéficient de telles protections, protéger l’avenir, les enfants ont le droit d’exister en face d’une matrice qui les a portés.

Lorsque je vois la photo de l’homme incliné présentant ses testicules aux regards d’une femme qui s’en amuse, spectacle affligeant d’une libido déplacée, un enfant assiste à la scène ! La mère de l’enfant immortalise la scène par des photos,

Iil ne faut pas parler des pratiques de la bonne société.

Je refuse que mon fils soit dans cette bonne société ! Il n’est pas un jouet.