dimanche 25 septembre 2011

le secours du discour

Ce blog m'est d'un grand secours. En m'offrant la possibilité de m'exprimer clairement, sans ambages, sur mes angoisses concernant mon fils. Angoisses reconnues et justifiées par les décisions de justices, mais faire cesser le lavage de cerveau que subit mon fils sur son pays et son père revient à prendre des mesures drastiques sur une mère.
Nous sommes dans la prudence, factuellement l'enfant doit être mis hors d'atteinte de ses tourmenteurs, pratiquement est-ce que le remède ne présente pas des risques ?
Je pense que le "moindre mal", puisqu'il faut bien admettre cette expression relative, est de rendre Adrien à son univers initial.
La culture du Macdo et des bonnes qu'ont lui propose au Maroc ne présente pas les garanties pour l'avenir. D'ailleurs le Maroc est une terre d'émigration, dès qu'ils le peuvent, les marocains quittent leur pays. C'est une réalité factuelle. Même les riches partent. Les immigrés sont les retraités qui viennent profiter des bonnes et du soleil. Je ne pense pas que cette éducation soit profitable à mon fils.
On me reproche mes positions tranchées, lorsque je demande humblement quelles pourraient être les solutions, l'enfant , le père et la parentalité sont sacrifiés.
La situation et les attitudes sont scandaleuses et terribles. Pour faire admettre que Nathalie n'est pas marocaine et qu'elle utilise ce pays comme un brigand son refuge, tels les pirates Hollandais utilisaient Salé comme repère, je dois argumenter sans cesse.
Ces arguties, ces manoeuvres de pirate, ces procédures épuisantes  pour faire reconnaître à un enfant le droit à une vie épanouissante.
Je pense que ce que connaît Adrien est le plus grand fléau qu'un enfant puisse connaître,  sa mère lui interdit de voir son père. Mais l'expérience montre que les fléaux renforcent ceux qu'ils ne tuent pas. L'épreuve est dangereuse, la mère a choisi, des gens l'ont soutenue, nous verrons.
Il ne me reste que l'espoir dans l'adversité, j'aiderai mon fils à se remonter.

samedi 24 septembre 2011

peut on parler de la personnalité de l'enfant ?

Un enfant est une personne bénéficiant d'attributs dont la hiérarchie naturelle est les parents, les frères et soeurs, les grands parents, les oncles et tantes puis les collatéraux.

Concernant Adrien, que peut on dire, au premier niveau une mère en fuite au Maroc, aucun frère ni aucune soeur au Maroc, en revanche il en a 3 en France, aucun grand parent au Maroc, mort ou vif, au moment de son enlèvement il en avait 3 vivants en France, une tante au Maroc contre 2 tantes et un oncle en France. Les collatéraux ne présentent qu'une complémentarité.  Sur quoi repose une intervention marocaine vis à vis d'Adrien ?

Cette énumération montre la fragilité  des liens avec le Maroc.
De plus  au moment de la soustraction fabienne se déclarait résidente sur le sol métropolitain pour bénéficier  de la CMU, Nathalie se déclare toujours résidente en France pour les indemnités chômage, et le Maroc les protégerait ? Je ne peux y croire.

interrogation sur la fratrie

Adrien a une fratrie, un frère et deux soeurs. Les relations que l'enfant a nouée avec son frère sont, étaient fortes puisqu'elles ont été rompues par la soustraction.
Les craintes que la mère exprimait sur cette relation comme la renvoyant à un statut d'aïeul qu'elle craignait sans raison, elle est et restera la mère biologique d'Adrien.
Un point de vue éclairant le comportement des 2 soeurs. L'écart d'âge entre les deux frères est suffisamment réel pour justifier une perception particulière de la fratrie, 24 ans d'écart font une génération. Pour éviter qu'Adrien soit confié à son frère en cas de malheur, elle a voulu établir une "donation" de notre fils  à sa soeur.
Plutôt que de voir Adrien élevé par un jeune couple, peut être avec d'autres enfants à venir, elle préférait le confier à un couple vieillissant sans espoir d'enfant, Nathalie se comporte comme une mère porteuse pour sa soeur, sa soeur exploite cette domination.
Ce qui m'intéresse c'est Adrien. Le comportement de sa mère peut servir de cas d'école pour le rapport à l'enfant de ce type de mère.
Ma détermination s'appuyait sur un sentiment de dangerosité de ces femmes sur le développement psychologique de mon fils, ces réflexions, étayées par les faits probants, rationnalisent ce sentiment.

Le courrier de Nathalie confiant mon fils à "l'amour de sa soeur et de son maris", l'acharnement à creuser le fossé avec moi pour isoler l'enfant. Nous sommes dans une affaire de captation d'enfant.
Le jeu du divorce est secondaire, ces femmes sont en plein délire, une en mal d'enfant, la cadette en quête  de reconnaissance par son ainée.
Adrien n'est pas le jouet de 2 soeurs.

Conditions de vie de mon fils

Deux femmes retiennent mon fils loin de son père.

Elles tiennent à l'enfant des propos dévalorisants sur son père et son pays, bien que sa mère perçoive les allocations chômage françaises et que sa tante ait bénéficié des secours  aux soins pour les nécessiteux que la France alloue aux bénéficiaires des minima sociaux, son maris ne pouvait sans doute pas subvenir à ses soins, pauvre Maroc.

Un petit garçon de 7 ans évolue dans ce monde. La violence de ces femmes s'est exprimée dans les conditions de la soustraction. Le mépris des intérêts de l'enfant par cette rétention loin de ses repères est évident. Il y a  20 mois que l'enfant vit dans une ambiance de cavale, il sait qu'il a été enlevé pour faire du "tourisme", il sait que son père est opposé à cette situation.
Que 2 femmes aient des débordements, cela se conçoit, mais que l'on permette qu'un enfant les subisse sur une telle période, je suis surpris.

Peut on me définir l'intérêt que l'enfant a à connaître une telle situation ?

Les textes parlent des intérêts supérieurs de l'enfant. Où sont-ils ?

Je commence commence à penser à un déni de justice pour l'enfant.

Je précise que la justice française m'a confié les soins de l'enfant et que la mère est condamnée à 18 mois de prison ferme.

Cette affaire est 100 % française, la mère s'est enfuie au Maroc pour convenances personnelles, elle n'a aucunes origines marocaines, juste un grand-père algérien et un père venu  au Maroc  comme soldat français  du temps du protectorat.

Je me répète peut être, mais le scandale perdure.

vendredi 23 septembre 2011

la mise en abîme....

De la perversion de faire peur aux autres, de la mise en abime, vous serez responsable de mes actes !
J’assume mes actes.

J’estime que l’enlèvement de mon fils est une offense à l’enfant.

Les exhibitions que sa tante lui offre cherchent  à pervertir l’enfant, le sexe dévorant de la femme sans retenue, souvenez vous des photos.

La civilisation est mise en porte à faux  par de tels agissements, protéger les faibles, les femmes seraient faibles puisqu’elles bénéficient de telles protections, protéger l’avenir, les enfants ont le droit d’exister en face d’une matrice qui les a portés.

Lorsque je vois la photo de l’homme incliné présentant ses testicules aux regards d’une femme qui s’en amuse, spectacle affligeant d’une libido déplacée, un enfant assiste à la scène ! La mère de l’enfant immortalise la scène par des photos,

Iil ne faut pas parler des pratiques de la bonne société.

Je refuse que mon fils soit dans cette bonne société ! Il n’est pas un jouet.






dérive du sens commun.

La demande de sécurité exacerbe le statut maternel jusqu'à lui faire oublier sa fonction éducatrice.
L'enfant élevé dans le conflit ouvert au père ne sait plus vers quoi se tourner.
La mère qui, pour un désarrois personnel, sacrifie son fils est socialement criminelle, elle transforme son fils en électron libre.
Ces actes criminels perturbent non seulement un enfant, mais le père et la société future.
La société propose des sanctions, mais ces sanctions ne protègent pas l'enfant, il est même à craindre que l'enfant en pâtisse. Le père ne bénéficie que du soupçon, il ne fallait pas laisser la mère agir, il ne fallait pas lui laisser le passeport, il ne fallait pas laisser la tante s'approcher de l'enfant...que des conseils....irréalisables sans contraintes physiques, Une mise en perspective de la subordination de la femme, l'homme est responsable des dérives féminines.
La mère et la tante ont le même comportement, gène ou éducation ? Leur focalisation sur mon fils est flagrant, cet enfant est leur jouet exclusif, elles s'en emparent, le gavent de jouets et d'attention, le privent de tout repère extérieur à elles même.
La complicité de leur environnnement ne s'explique que par le malaise qu'elles imposent, les contrarier est explosif, j'en sais les conséquences.

Dans tout cela, cette situation a été illustrée de nombreuse fois par la mythologie. Un enfant est saccrifié sur l'autel des parents. Chaque jour le poison progresse.

mercredi 21 septembre 2011

Audience du 30 septembre 2011-09-21

Je, laurent Dahinger, citoyen français, suis convoqué devant le tribunal de Rabat, à la demande de Nathalie Lakhdari, citoyenne française. La consonance magrébine de son nom venant d’un ancêtre kabyle algérien vivant à Montreuil dans les années d’avant guerre. Le Maroc désire  statuer de la dénonciation d’un mariage français et de la garde d’un enfant français, déplacé du territoire français pour le placer sous la protection d’un diplomate marocain.

Ma présence est requise, que faire ?

Mon fils, Adrien est retenu au Maroc par sa tante et son oncle, ils n’ont pas d’enfant, je suppose que leur affection sur mon fils est un sentiment noble, pas une démarche de compensation.

Les conventions internationales sont bafouées, celle de La Haye sur le déplacement d’enfant n’est pas applicable car mon fils m’a été soustrait 3 mois avant la signature, et les accords de 1981 ne sont pas respectés, sans doute parce que la convention de La Haye s’y substitut maintenant.

Si je vais à Rabat, je n’ai pas le droit de faire quoique ce soit pour voir mon fils, je suis convoqué, je dois m’incliner.

On nous parle de droits de l’enfant, de droits du père, de droits simplement.

Un enfant est privé de références paternelles depuis 20 mois, le droit ne s’applique que pour contraindre le père.

Je m’inquiète pour mon fils, les photos que sa mère a laissées à la maison me laisse craindre des pratiques sexuelles déplacées, que dois je faire ? Attendre que mon fils soit détruit  pour le plaisir de collatéraux ?

mardi 20 septembre 2011

où va-t-on ?

Que des femmes perdent le sens commun pour une histoire d'enfant, malheureusement les faits divers nous montrent des exemples tous les jours.
Mais aujourd'hui je parle de mon fils !
 Je m'aperçois que la consonance maghrébine du nom de ma femme lui sert de sauf conduit au Maroc !
Que les origines soient algériennes montrent le caractère superficielle des subjectivités.
Le Maroc est une terre musulmane,  nathalie est chrétienne de rite catholique, la médaille qu'elle a offerte à Adrien montre son attachement à des images chrétiennes.
Je ne pense pas que le mensonge puisse durer trop longtemps, ces femmes qui abusent le Maroc pour des intérêts à court terme seront reconnues. Je m'interroge plus sur la faiblesse de leur protecteur, pour avoir la paix, il sacrifie un enfant....
Je pense sincèrement que le problème est là, pour avoir la paix, on sacrifie un enfant.
Le père refuse ce sacrifice.

lundi 19 septembre 2011

la folie

Je relis la lettre de nathalie justifiant son départ au Maroc et la requête de fabienne concernant ce blog. Un seul mot, la folie. Un mot qui aujourd'hui englobe tout et son contraire, mais dans le sens de ce message n'englobe qu'un égocentrisme maladif.
le problème est que la loi ne connait pas de subtilité, on switch, ordinaire/delictuel.
Les amis de Nathalie l'ont flattée, pourquoi?  je ne sais, mais il aurait été préférable qu'elle m'écoute.
Maintenant, pour l'équilibre de mon fils, je vais devoir réparer les abus de ces gens là.
j'ai souffert pendant presque deux ans, et je vais être obligé de composer. Je pense que mon fils comprendra la médiocrité, pour ne pas dire plus, de ces personnes qui ont abusé de lui.
La convention de La Haye est signée, retour immédiat de l'enfant déplacé.

conventions internationales

Après la découverte de l'adhésion du Maroc à la convention de la haye concernant le déplacement d'enfant, abordons la convention internationale des droits de l'enfant.

"La loi s'oppose aux ruptures de liens subies par l'enfant", quel est l'objectif d'un déplacement sinon la rupture ?
je rappelle que ni l'enfant, ni la mère, ne parlaient arabe au moment de l'installation au Maroc.
Le seul lien est une tante abusive qui cherche à intensifier son emprise sur un enfant.

Les femmes qui ont enlevé Adrien vivent au Maroc au milieu de diplomates, Nathalie, la mère d'adrien, s'est mise sous la protection, déclarée, d'un ancien ambassadeur marocain.
In fine, si la justice française sanctionne lourdement la mère pour avoir suivi les conseils de ses protecteurs, les intérêts supérieurs de l'enfant devraient être reconnus et les coupables devront réparation à l'enfant.

Cette enfant a été abusé pendant presque deux ans par des adultes inconscients.

Que l'on ne m'oppose pas des usages qui n'existent que dans les fantasmes de certaines personnes.
Adrien obtiendra réparation des outrages.

jeudi 15 septembre 2011

espérances

 et philosophie.
J'ai épuisé tous les arguments, jusqu'au plus hautes instances internationales, mon dossier est parfaitement bordé. Maintenant l'action est sur le terrain.
Mon fils est sur le sol marocain. Un état souverain, de plus un royaume; soit cet état respecte sa parole de respecter les dispositions de la convention de La Haye qu'il a ratifié, soit il protège un enlèvement d'enfant.
Je ne peux croire à une situation aussi inepte, mon fils doit retrouver son cadre de vie.
Ce soir un marocain me recommande l'action de l'avocat marocain face à ses institutions. Après ma consternation de ne pas avoir vu mon fils bénéficier des conventions internationales, je dois encore faire confiance pour mon fils......
J'attends encore une aide, un signe, pour l'instant j'ai tout initié, le père doit protéger son fils contre tout, même contre la mère dans le cas d'Adrien.

mercredi 14 septembre 2011

utopie

le Maroc a ratifié la convention de la Haye sur le déplacement d'enfant depuis un an, la justice française s'est  exprimée compétente et a condamné la mère à 18 mois de prisons ferme pour soustraction d'enfant et rétention à l'étranger. Adrien bénéficiera de ces mesures.
Je suis convoqué au Maroc pour une audience de divorce le 30 septembre. Je dénonce sur ce blog des attitudes indéfendables visant à asservir mon fils, un enfant de 7 ans maintenant.
Malgré les avertissements que l'on me professe je me rendrai à cette convocation, peut être une bravade à la statue du commandeur. Je prends le risque pour Adrien.
Je prends toute les précautions, la Présidence de la République Française m'a honoré d'une reconnaissance de mes intentions, j'ai prévenu les autorités responsables des deux pays.
L'énergie d'un père pour arracher un enfant à un environnement dangereux pour son fils ne peut rester stérile.
Une mère en déshérence ballottées par une soeur  egoentrique, désirant la jouissance d'un enfant sans l'avoir fait, sera la victime finale d'une histoire sordide. Un enfant de 7 ans aura été l'objet d'un jeu sordide.
Je pense sincèrement que l'histoire s'achève. Je regrette la médiocrité des acteurs. Mon fils méritait mieux.

mardi 13 septembre 2011

Aujourd'hui nouvelle procédure

Médiation pénale pour des faits de violences sur Ludmilla , la secrétaire dévouée protégeant sa bien aimée patronne par des procédures multiples. Lorsqu'on lui demande de signaler à sa patronne qu'enlever un enfant revient à foncer dans le mur juridiquement parlant, elle parle de menaces.
Ce qui est curieux, c'est que la police enregistre cette plainte stupide alors que pour signaler l'enlèvement de mon fils, j'ai du courir les commissariats.....que l'on me fonce dessus en voiture est une chose normale, que l'on tripote mon fils et que l'on s'exhibe devant lui est normal aussi, un petit garçon doit savoir se comporter devant la nudité de sa tante et les jeux de son oncle, normal encore.
Ce petit garçon est tenu à l'écart de son père qui ose tenir tête. Pensez vous, un diplomate marocain  a le droit de s'amuser avec un petit enfant, surtout lorsque la mère lui offre. Le père doit être écarté.
la justice est prudente, pas de remous, attendons que le mal soit complet. Les sanctions tomberont après.....
Curieuse conception, le père ne doit pas défendre l'honneur de son fils.

dimanche 11 septembre 2011

soirée de réflexions

Nathalie s'est très mal positionnée, mais il faut dire que son entourage l'a grandement accompagné. Son père qui l'a soutenu et à tenté de m'impressionner pour commencer. Les complices Alexandre et Fabienne, je ne vois pas l'intérêt d'Alexandre, celui de Fabienne est de récupérer un enfant qu'elle n'a pas eu... Le brave Chahid baladé par sa femme, le cocu de service, il y trouve son compte, sa femme le laisse courir ses soubrettes.  La situation est tellement trouble qu'Adrien associe l'amant et le maris, quels repères gardera t il de cette expérience ?
Il aura vécu 20 mois avec des gens qui se seront servis de lui pour assouvir des passions. Il aura été un "objet" balloté entre des adultes mal assis. Qui lui rendra ces mois perdus, qui lui rendra sa mère déstabilisée par une soeur stérile !
Il est temps que ce cauchemar s'achève.

samedi 10 septembre 2011

analyse au calme

Pour justifier sa résidence au Maroc, Nathalie présentait un contrat de travail, un bail de location et une procédure de divorce marocain. Aujourd'hui ces trois éléments sont caduques, elle a survécu grâce à une escroquerie aux assurances chômages française, un bail de location a l'adresse duquel les autorités marocaines ne l'ont pas trouvé pour notifier sa condamnation à la prison, et une procédure de divorce marocain qui commence maintenant.

3 arguments , 3 mensonges, pourquoi?
pour satisfaire les pulsions de sa soeur  ? pour satisfaire un besoin de nuisance sur un enfant ?

Un divorce conflictuel est basé sur des arguments factuels. Ceux de Nathalie ne sont que des mensonges, toutes les procédures sont basées sur des mensonges.

Et Adrien est au milieu de ce monde!

Il ne faut pas que j'évoque des éléments pouvant nuire à la réputation de ces femmes, que dois je faire pour mon fils, et pour moi aussi ?

vendredi 9 septembre 2011

journée au palais

Une audience intermédiaire au palais, affaire de diffamation pour ce blog...
La partie civile ne s'est même pas déplacée, une fois de plus ces gens montrent qu'ils prennent la cour pour des domestiques à leur disposition.
J'ai honte pour mon fils qui est entre les mains de gens pareils... Pour ce mépris qu'ils expriment pour le genre humain, les élites marocaines ne considèrent leur pays que pour l'immunité qu'il leur offre.

Une promenade dans les services, greffier pour le non appel de la condamnation de Nathalie, il faut se rendre au BEX pour une non opposition, rectification de l'adresse car Nabil Ben bella n'est plus dans la course, retour à l'adresse des Chahid là où Nathalie s'est réfugiée , on essaye gentiement de me rendre espoir en me disant que nathalie ne peut franchir les frontières, je suis sceptique mais je ne souhaite que le retour de mon fils, si la mère veut rester au Maroc cela ne me concerne pas.
 Discussion avec de jeunes avocats qui me disent que les accords avec le Maroc ne sont respectés que par la France...

Point positif de la journée, courrier de soutien de la Présidence de la République et du ministère de la justice.

aujourd'hui audience en correctionnel

A 13h30, le tribunal correctionnel siège pour examiner la plainte de Fabienne concernant les propos que les Lakhdari estime diffamatoires. Soustraction et maltraitances sur enfant, la soustraction est déjà actée par un condamnation à 18 mois ferme, la maltraitance est en cours d'instruction.
Elles pourront ajouter les dénonciations pour escroqueries aux prestations sociales, CMU et chômage, sans oublier le diplomate car il est l'époux légitime à l'époque des faits et entretien normalement sont épouse en lui versant de l'argent, il ne cherchait donc qu'un complément de ressource sous la forme de fausses déclarations, cas banal.

mardi 6 septembre 2011

Constat

Les décisions de justice sont formelles, mon interprétation de la situation est correcte, mon devoir est de sortir mon fils de ce cloaque. Ma plainte pour maltraitance est en cours d'instruction, les documents juridiques poursuivent leur avancement dans le cadre des procédures.
Maintenant reste l'application du droit et le respect de l'enfant.
Cet enfant est abusé depuis 20 mois. Deux femmes, soutenues par un homme, abusent d'un enfant de 7 ans. Qu'une de ces femmes soit la mère biologique  peut être considéré comme une circonstance aggravante, le statut social de l'homme aussi.
Le plaisir des adultes ne doit pas conduire à la destruction d'un enfant.
Je suis conscient des difficultés de lecture que présentent ces situations. Pour assouvir une passion excessive, une femme maltraite l'objet de sa passion.
L'enfant est objet de passion, l'amour maternel devient cause de maltraitance. Nous sommes face à une situation de démence. Je l'ai déjà exprimé en parlant de ma belle soeur au volant, lorsqu'elle me fonçait dessus en voiture, une crise de  démence.
Face à cette  situation, les protections que la justice accorde aux individus les conduisent à s'enfermer dans une spirale.
Dans peu de temps, il est fortement probable que les sanctions pour soustraction d'enfant dépassent le seuil des 2 ans d'incarcérations, seuil nécessaire pour que les actions internationales soient enclenchées. Pendant ce temps, mon fils subit un lavage de cerveau sous la surveillance d'êtres sans dicernement.
Il me semble que le scandale social peu aller jusqu'à non assistance à personne en danger. En laissant la mère agir à sa guise, voire en l'incitant à des positions dangereuses pour elle même et pour l'enfant, la société piège cette femme en la conduisant à une situation invivable. Notre derniere conversation en mai 2010, à l'ennoncé de l'ordonnance me confiant la garde de l'enfant, "c'est trop dur pour moi". Peut être que la maternité est simplement trop dure pour elle ? 

lundi 5 septembre 2011

je me souviens du message de Fabienne

" il s'agit d'un divorce conflictuel", traduction  soustraction d'enfant et 18 mois de prison ferme pour la mère.
Que deviend mon fils dans cette histoire. Sa mère lui a dit faire du tourisme, comment justifie t elle l'absence de son père ? des mensonges sur lesquels l'enfant est obligé de s'appuyer pour se construire.
La femme qui lui a donné le jour l'empêche de se construire comme un petit garçon . Et tout cela sous l'oeil amusé de soi disant adultes.
Que doit dire un père responsable dans ces conditions, quelles seront les sanctions possibles, sanctionner la mère et l'enfant en souffrira, sanctionner les adultes complices, comme cela se profile, lui montrera le mensonge et la perversion de ces créatures.
Les échéances approchent, j'espère qu'Adrien se reconstruira après ces mois de réclusion, je ferai tout ce qui sera en mon pouvoir.

L'autisme de Nathalie la met dans la situation de doubler les sanctions qu'elle connait aujourd'hui si elle attend l'appel,  l'article 227-10 précise les sanction en cas de déchéance de l'autorité parentale.
Il serait malheureux pour l'enfant que les folies de sa tante le prive de sa mère pour une telle durée.  Il a déjà été privé de celle de son père pendant 20 mois pour subir les jeux suspects montrés sur les photos que la pudeur de la justice m'empêche de montrer à nouveau.

dimanche 4 septembre 2011

optimisme

La semaine dernière a été riche en émotions. La reprise de mes messages sur le blog, les soutiens reçus, la perspective des échéances qui devraient voir aboutir le dossier juridique.
Je m'inquiète pour mon fils. Il aura vécu presque deux ans dans un monde absurde où il n'aura été que le jouet de pulsions mal contrôlées.
Il sera de mon devoir de lui montrer un équilibre constructif. Au milieu du marasme dans lequel j'ai évolué depuis son enlèvement, je pense avoir garder un cap satisfaisant.
De quoi peut on m'accuser ?  d'exprimer avec fermeté le point de vue d'un père assumant son rôle de protection, la société a failli dans ses fonctions, la protection d'un enfant est la plus haute fonction qu'un individu peut se fixer.
L'argument de nathalie concernant son installation au Maroc s'est effondré par ses allocations chomage. Où est son domicile, dans le 12° arrondissement comme elle le déclare chaque mois à pôle emploi, dans le 20° arrondissement comme l'administration fiscale le considère, dans le quartier aviation de rabat comme son bail le prétend, chez sa soeur ? Quatre adresses, mon fils vit au milieu de ce marasme.
Une procédure de divorce au Maroc dans ces conditions est surprenante. Je suppose que les conseils marocains  ont omis innocement de nombreux éléments pour justifier leur position.
nous verrons.

samedi 3 septembre 2011

la perception


Le débat qui m'occupe est l'éloignement de mon fils, éloignement filiale et paternel, mais aussi culturel.

Nathalie prétend vouloir élever mon fils dans le pays de son enfance, une civilisation néo coloniale où la qualité de français garantissait un statut. Même si certains aspects de la civilisation occidentale sont encore convoités au Maroc, en général le choix populiste étant plus porté sur des facettes brillantes que sur des valeurs, cette époque est révolue.

D'ailleurs, le mode de vie ségrégationniste de ces femmes, Fabienne ne s’essaye à une vie commerciale que depuis peu et exploite des convoitises de faible porté, du brillant. Quant à Nathalie elle ne sortait quasiment jamais des maisons ou appartement…

Répulsion du peuple marocain, de ses odeurs, du dynamisme de ses souks, on ne connait que la rue du Consul bien rangée.

Je ne pense pas que ces femmes puissent faire découvrir une civilisation à mon fils, que ce soit au Maroc ou en France.



Il est grandement temps que ce scandale cesse.

vendredi 2 septembre 2011

Interrogation

Lorsque l'on expose des faits, peut on parler de délation. Le fisc français me demande de payer  les impôts sur des allocations chômage d'une femme s'étant enfuie au Maroc avec mon fils. A la limite du raisonnement , le laxisme des contrôles de pôle emploi rend cet établissement complice d'une soustraction d'enfant en fournissant l'argent nécessaire à cette cavale.
Le bénéfice de la CMU à la femme du diplomate est du même registre et montre les compromissions auxquelles ces femmes sont habituées. Les hommes les entourant sont complices par inconscience, le marocain ne doit aucun respect à la France et se comporte comme un petit brigand, mentir pour de telle sommes est avilissant. Quant au français qui fournit complaisément son adresse pour que sa salarié au Maroc ne lui coute pas trop cher, il y trouve son compte et son exemple doit être courant.

Je suis conscient que je frole la délation, j'ai les courriers officiels prouvant ce que j'avance.
Est ce que mon silence ne serait pas complicité ? 

jeudi 1 septembre 2011

difficultés

Où se situe l'équilibre?
La situation que connaît mon fils est la conséquence d'une violence extrême, arracher un enfant à son père, à son environnement, tenter d' attenter à la vie d'un homme pour aboutir à ses fins.
Les motivations sont troubles, aucune référence à un mal être de l'enfant justifiant cet acte, simplement le confort de 2 femmes.
Maintenant que chaque jour ancre de nouvelles habitudes chez mon fils, maintenant que chaque jour est une souffrance pour moi, que dois faire ?
Normalement l'intérêt de l'enfant devrait primé. Que penser des personnes fréquentant ces femmes et voyant un enfant dans lequel se marque l'absence du père. Les conséquences psychologiques de ce qu'il connaît peuvent être dramatiques, le père doit supporter la vue du massacre.
Ne pas penser à la vengeance, la justice est là pour assumer cette fonction.
Mais l'issue certaine de cette histoire est prévisible, le poids des sanctions, tant financières que carcérales, sera un poids complémentaire que supportera Adrien.
Ces femmes sont des monstre d'égoïsme, les personnes qui les soutiennent et permettent cette situation montrent un mépris complet du bon sens.
Nous sommes dans la violence ! Les efforts de contentions que l'on me demande me coutent très cher, heureusement pour Adrien j'ai de la ressource, le dire et l'entendre me donne du courage.