samedi 30 octobre 2010

Réflexions après la colère

Certains pourront s’étonner de la franchise de mon blog. J’ai retiré les photos explicites, « voilez ce sein que je ne saurais voir ». J’ai retiré les phrases subjectives, comparer un malade à un ectoplasme peut être un signe d’envoutement, mais l’issue de la vie est certaine .
Je souhaite une procédure contradictoire. Mon fils est détenu au Maroc. La mère n’a jamais entamé une procédure de divorce, je n’ai reçu qu’une lettre démentielle. Il est fait allusion à une lettre recommandée avec AR que je n’ai jamais reçue. Lorsque je demande justification de ce courrier, seule une copie par fax me parvient !
Depuis, et jusqu’à fin mai,  je n’ai connu que de brefs messages ou d’arrogantes conversations téléphoniques où l’on faisait dire des stupidités à mon fils : "papa est une miette de pain devant tata zizi », « pourquoi ne me laisses tu pas refaire ma vie au Maroc », « Paris est une poubelle », des mots d’enfants…..mais jamais une conversation posée pour envisager une issue à ce cloaque. Dernièrement, une réunion d’avancement de dossier s’est tenue en l’absence de nathalie, ou d’un représentant, devant le juge des affaires familiales. Nous en sommes à l’injonction de conclure !
Bien que mon attitude puisse sembler outrancière, je souhaite aller jusqu’à la sanction des acteurs de ce drame. Un enfant ne peut être le jouet d’un tel drame. Interrompre une scolarité Montessori  en plein cycle est absurde et pervers, on est sûre que l’enfant en gardera des séquelles. Faire connaître la déstabilisation d’une fuite précipitée est aussi catastrophique, surtout lorsque  l’enfant est seul au milieu d’adultes.
Le divorce est réglé de mon fait, le « compromis » est établi.  Je dispose d’un écrit que j’ai retrouvé après la fuite de nathalie. Ces mots sont écrits au verso d’un dessin d’enfant sur du papier « Volume et Couleur », Société dont le complice masculin était le gérant. Les termes montent explicitement l’enlèvement. Adrien m’appelle au secours, mais ces furies l’enlèvent. Nous sommes en plein délire.
Je ne présenterais pas les lettres du « pépé », ce pauvre vieux est en plein délire, il a même essayé de me provoquer physiquement en m’incitant à venir chez lui….Paix au peu d’esprit qu’il lui reste.
Le Maroc se comporte avec plus de réactivité que la France. La procédure d’exequatur est déjà aboutie, l’ordonnance  française est reconnue explicitement par les autorités marocaines. L’absence d’éducation de Nathalie et de Fabienne les empêche d’anticiper, mais l’issue se rapproche.
Mais comment réparer le mal fait à mon fils !
Il disposera d’un dossier dans lequel les étapes juridiques seront consignées. Lorsqu’il se posera des questions, en fonction de sa maturité il accédera aux réponses formelles et concrètes.
Il sera entendu et écouté à son retour,  j’essayerai de contrebalancer cette année de folie qu’il aura connu. Lui offrir le calme réparateur.




Je ne pense pas que l'on pourra m'accusé d'avoir dérobé cette "lettre", je ne pense pas que Fabienne pourra accuser sa soeur de légerté car cette "lettre" est écrite de sa main, je ne pense pas que montrer cette "lettre" puisse m'être reproché par un avocat, quoique...vu le comportement de certains..le papier à lettre est identifiable, Volume et couleur. Tous les acteurs sont réunis.
Je pense que ce document se suffit à lui même.



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