mardi 15 mars 2011

le monde se fache, pour ne pas dire Dieu

D’un coté un roi corrige paternellement quelques sujets dévoyés ne lui accordant plus une confiance aveugle, de l’autre une mère joue à cache cache pour jouir de son fils au détriment de son équilibre et de la justice.
Où est le lien, un pays, une culture, un état d’esprit  de certitude. Je pense à une forme d’autisme. Si l’on revendique l’autorité et la loi, adrien doit revenir chez son père, si l’on soutient la subversion, les lakhdari doivent être protégés au Maroc,  mais comment justifier une telle attitude ?
La situation devient explosive. Qu’un enfant soit utilisé comme otage par sa mère, ou qu’une mère dans un accès de délire se comporte comme cela, et que les personnes  la côtoyant  ne la ramènent pas à la raison interroge sur les systèmes de valeur.
Il peut exister des dérives, mais je crois que le bon sens triomphera  in fine. Les exemples de violence contre les hommes, contre la nature, contre Dieu sont toujours édifiants car se soldent par la déchéance de ceux qui les commettent.

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