vendredi 11 mars 2011

encore une journée d'audience

Aujourd’hui devant une chambre correctionnelle parisienne, le président et l’huissier se souviennent honorablement de moi, l’avocat des Lakhdari est obligé de s’excuser  auprès du président pour sa légèreté lors de notre première affaire. Cette situation devient scandaleuse, Nathalie et Fabienne font honte à la société. Le statut de la famille marocaine  de Fabienne ne peut être qu’entacher par les agissements de ces deux femmes, et mon fils est dans ces effluves fétides, c’est insupportable.
Le calendrier des audiences s’étale sur 10 mois, une course d’endurance après deux référés, la cour montre que l’urgence de la défense de l’honneur de Fabienne n’est qu’un aspect fort relatif.
J’ai échangé quelques correspondances avec le père des deux sœurs, un personnage délirant dont la prose montre l’ambiance de vie de ces deux femmes, on pourrait presque les excuser,  si un enfant de 6 ans n’était pas en danger comme la justice le reconnait en lui accordant des dommages et intérêts. On comprend tout de même les tendances excessives de ces femmes.
J’ai contacté un agent littéraire pour m’accompagner dans la rédaction d’une narration de cette histoire. La situation d’un père devant la violence d’un enlèvement, la lourdeur des procédures avec l’étranger, la suspicion de protection au Maroc, les caractères excessifs des femmes en présence, une palette de sujet à structurer dont le caractère scandaleux peut soutenir l’attention d’un lectorat significatif. L’actualité et la pertinence du sujet ainsi que la quantité de matériaux disponible rendent ce projet réalisable. Nous nous donnons quelques jours de réflexion.   

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