jeudi 17 mars 2011

approfondissements

J’ai le sentiment que la situation bouscule des non-dits : une mère est dans la situation de nuire à son fils, elle le fait avec le simple motif de contrarier le père. La justice est obligée de sanctionner une mère dans l’exercice de l’autorité parentale, Nathalie n’est pas encore déchue de ses droits sur Adrien.
Si l’on écarte les influences externes, si l’on est conscient que Nathalie étant avertie des conséquences de ses actes, j’ai envoyé les extraits de code pénal il y a un an, j’ai même prévenu Adrien que sa mère se mettait en danger, comment expliquer un tel acharnement sur cet enfant !
Une vengeance, les délires de Nathalie ont commencé dès la conception, et fabienne était déjà dans le coup ?

Lorsque, devant témoin produisant attestation,  fabienne me fonce dessus en accélérant pour me forcer le passage  au volant de ma voiture. Le regard de fabienne me fait peur  par sa détermination et je suis obligé de me protéger en esquissant le choc.
(texte modifié à la demande de Fabienne Lakhdari le  22 mars).
Les jeux d’exhibition, la violence, le déni du père, l’éloignement de sa culture, il y a une violence réelle contre Adrien, je suis hors d’atteinte. Nous nous trouvons devant la destruction programmée d’un enfant, si ce n’est destruction nous pouvons parler de déstructuration.
Que faire contre cette violence ?
Aucune faute factuelle n’est reprochée au père, la mère ne se justifie que d’histoires antérieures à la naissance de l’enfant ou d’impression.
Je crains un délire, et dans ce cas l’enfant est encore plus en danger, et nous en sommes tous responsable.   

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