dimanche 7 novembre 2010

Un dimanche matin

Je ne sais pas ce que connaît mon fils. des femmes, dont sa mère, l'on emmené au maroc contre ma volonté. Je suis obligé de subir cet affront . Devant les preuves à ma disposition et le refus de toute informations contraire,  je m'imagine le pire sans que l'on m'apporte d'informations rassurantes.
Ces femmes font appel à leur droit à l’image pour m’interdire de dénoncer leur désordre comportemental alors qu’elles bafouent le droit d’un enfant à connaitre son père et qu’elles insultent un homme dans sa paternité.
Elles n’ont aucune conscience. Nathalie m’accuse d’avoir « dérobé » des photos osées de sa sœur alors que j’ai été obligé de les menacer de tout mettre sur le trottoir pour qu’elles me débarrassent du garde meuble. J’ai encore retrouvé une caisse de diapositives que dois-je en faire ? sont elles compromettantes ?
Elles essayent de faire pression en arguant des diffamations !
Une plainte pour soustraction d’enfant, euphémisme pour enlèvement, une plainte pour non respect de décision de justice, jusqu’à où faudra-t-il aller  ? Les forces de l’ordre pour délivrer Adrien  ?
L’instrumentalisation de la justice pour accomplir un crime, le fruit d’une éducation sans père, le fruit d’un délire.

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