vendredi 19 novembre 2010

suites des affaires

J’ai encore reçu un courrier d’avocat dont la forme et le contenu sont proches d’une tentative d’intimidation. Mise en demeure, accusé de réception, présentation officielle, termes ronflants…Un courrier administratif me laisse craindre une nouvelle procédure au Maroc, je téléphone, on m’invite cordialement à faire un courrier pour me répondre.
Je m’interroge sur le statut de victime ? Je ne fais que protéger un enfant de 6 ans contre une soustraction à son père actée par la justice et une rétention à l’étranger.
Pour cela j’écris ce blog dans lequel je décris les conditions de soustraction et mes craintes quant aux manœuvres de rétentions.
Je remercie les lecteurs, plus de 1000 à ce jour, qui me soutiennent en passant sur ce blog et montre un intérêt, ne serait-ce qu’un œil distrait. Ce blog soulage mon entourage de l’expression de mes préoccupations.
J’ai signalé le risque de départ à l’étranger, on m’a répondu par une procédure impossible, j’ai signalé la soustraction, on n’en a pas tenu compte.
Je suis un homme pugnace qui dispose des statures suffisantes pour me faire entendre, stature physique, intellectuelle et financière.
L’énergie déployée pour tenir face à la machine judiciaire est comparable à celle nécessaire pour supporter l’offense et l’angoisse.
Sans qu’il y ait disparition, une soustraction du 28 décembre 2009 ne sera jugée que le 9 mars 2011, je n’ai pas vu mon fils depuis le 19 décembre 2009, je n’ai aucune nouvelle depuis mai 2010.
Depuis le 6 juillet 2010 la justice marocaine a reconnu la validité de l’ordonnance me confiant Adrien.
Et l’on me demande de faire un courrier pour demander s’il y a des procédures engagées au Maroc, est-ce plus simple de répondre sur un courrier que directement en tenant compte de l’urgence de l’angoisse ?
A coté de cela, on discourt sur l’impact de la soustraction de parent sur un enfant. Le parent qui pratique cette violence bénéficie de toute les protections s’il s’en vat à l’étranger. Certes, il encourt une sanction à l’issue d’une lourde procédure,  
Soustraire un enfant à son père. Le faire brutalement par une fuite, professer des propos dévalorisants sur l’absent. Le faire sur un petit garçon de 6 ans en pleine construction de personnalité.
Entourer cette manœuvre de complicités mielleuses.
Maintenant, comment envisager le retour ?
L’enfant ne peut rester loin de chez lui, il est français, de père et de mère français, chrétien et de race occidentale, de surcroit parisien de longue lignée par son père, aucune origine marocaine à part le hasard d’une affectation militaire du grand-père né à montreuil, d’une mère alsacienne et d’un père kabyle. Dès que les filles le purent elles vinrent en France. et maintenant elles prétendent aimer le maroc!
Enlevement
Justice au maroc
Droit du père

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