jeudi 4 novembre 2010

L’histoire se poursuit, la lenteur de la justice mine les espoirs.

Maintenant que l’anecdote du référé se calme, que l’honneur et la probité des acteurs ont été établis, ni vu ni connu, tu ne montres plus les photos, il n’y a plus d’outrage, je fais ce que je veux à ton fils, et je ne te demande plus 29 000€, pas de fond, que la forme.
On ne se souvient que de Néron, sa sainte mère, grandement responsable des perturbations de son fils, n’est connue que chez certaines personnes. Le fils aimant a ménagé le souvenir de sa mère en incitant Sénèque à mourir.
 Il y a obligatoirement d’autres histoires, je ne m’en remémore pas.
Je revois cette situation où un vice président du TGI de Paris me signale que mon référé n’a pas été placé et qu’il n’y aurait pas audience !
J’étais au courant, mais comme un des plaignants m’avait infirmé cette information, et que le greffe confirmait mon rendez vous, je me méfiais d’une manœuvre visant à me soustraire de mes droits de défense.
La situation était outrageante pour les deux parties, le juge et moi ! Je sentais une compassion du coté du juge obligé de « couvrir » une manœuvre de gougnafier, (je ne nomme pas l’avocat mais j’aimerais le rencontrer pour qu’il m’explique sa conception de la procédure et de la correction).
Mais venant des lakhdaris et consorts on ne peut s’attendre à mieux, la bassesse et l’esbroufe.
Adrien doit être éloigné de ce monde délétère, de plus que maintenant il sombre dans la démesure juridique "100 pages de constat pour rien". Je le demande depuis plus de 10 mois, combien de temps faudra-t-il attendre ?
Doit on attendre que mon fils soit lobotomisé par des sœurs perverses ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire