jeudi 28 juillet 2011

Réflexions

cette période de trêve estivale permet une prise de distance avec les événements justifiant ce blog.

il est parfaitement possible de rapprocher la situation vécue d'une atteinte aux droits de l'enfant : tout enfant à droit à des relations suivies suivies avec ses géniteurs. Si l'un des deux empêche l'enfant de satisfaire ce besoin, il se met en situation de crime.
Qu'en est il du parent spolié de cette relation?
En ce qui concerne la mère, le sentiment général est une défense du sentiment maternel, mais vis à vis du père?
Et qu'en est il des complices qui accompagnent, voire favorisent cette situation?
Dans le cas présent la violence d'une femme sans enfant souhaitant s'approprier son neveux, allant jusqu'à une tentative d'homicide pour aboutir dans ses manoeuvres, de témoignages et d'affirmations spécieux (harcèlement téléphonique, désir de nuire à la mère....), manoeuvres dilatoires en justice, double procédures France/Maroc, lettre d'incitation à la violence " viens nous chercher si tu l'oses"....Bref autant d'actes empreints d'un délire incompréhensible.
Les conséquences psychologique sur l'enfant sont certaines, ces personnes massacrent consciemment un enfant de 7 ans. Pourquoi ?
Les motivations sont à identifier, aucune critiques objective contre les agissements du père .
À ce jour, 5 procédures sont en cours, les échéances approchent, quelle est l'échelle des responsabilités? Je m'interroge.

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