Ces personnes qui retiennent un enfant de 6 ans à 3000 km de son père, loin de son pays, loin de sa culture, qui lui interdisent tout contact avec son père malgré des dispositions légales parfaitement claires se permettent d’exprimer des souhaits de tranquillité.
« Laissez nous massacrer un enfant, c’est pour notre plaisir, nous avons le droit de nous jouer de lui ! Les hommes nous lassent, laissez nous les enfants ! »
Voila ce que j’entends.
Evidemment les sanctions sont de plus en plus lourdes, mais face à leur obstination la justice n’a que le choix du crescendo, pour l’instant nous en sommes à 18 mois de prison ferme, encore faudrait-il assumer ses actes, ces femmes là n’ont jamais assurer quoique ce soit, alors…il y aura toujours un avocat acceptant des honoraires, mais les recours ne sont pas inépuisables.
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