mercredi 18 mai 2011

réflexions d'actualité

les médias nous abreuvent d'une anecdote catastrophique pour ses acteur mais qui mérite d'élever le débat.
d'un coté, un homme, connu pour ses penchants fréquemment excessifs pour le sexe, de l'autre un système social basé sur des valeurs. L'homme présentait les valeurs sociales à très haut niveau, nul ne le nie, et cet ensemble de valeur générait une indulgence pour ses travers pulsionnels.

Ce que je rencontre pour mon fils est du même registre. Des femmes qui, au nom de l'amour maternel et filiale, éloigne par la force un enfant de son père. Nous sommes dans la démesure. Ces femmes sont prises dans une logique de possession. Si l'enfant est la première victime, le père en est la deuxième. La mise en scène que ces femmes ont apporté à ce drame, n'envisageait pas d'issue contradictoire, la volonté du père n'existait pas, une situation de viol, de déni de la personnalité, une provocation.

maintenant que la justice s'exprime et tranche, les arguties de la défense vont s'orienter vers la fragilité féminine et une demande d'indulgence, "de pauvres femmes inconscientes ont été débordées par leur besoin de possession amoureuse", aucune pudeur, d'autres victimes sont incarcérées à NY.

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