retour,

je n'ai pas écrit pendant quelques temps. Une période d'angoisse, de détermination, de construction.
Ces femmes qui retiennent un enfant loin de son père sans autre justification que leur bon plaisir.
Aucun contact, j'essaye le téléphone, pas de réponse, mes propos sont durs, mais la mère est déjà condamnée à 18 mois de prison ferme, ma colère est actée par la justice.
L'expression de la réprobation sociale ne suffit pas à contraindre ces femmes. Je vais aller plus loin.
Elles espèrent la protection de complicités marocaines, ce n'est plus dans l'air du temps au Maroc.
Les sanctions tomberont au Maroc aussi, un combat à outrance, je ne laisserai pas Adrien entre les griffes de ses bourreaux, la justice me soutient, j'avance.
Je m'interroge sur la réaction d'un enfant dont la mère est en prison pour avoir abusé de lui, de sa personne, de sa liberté. je recherche des confrontations, parfois de façon provocatrice, sur le fond je recueille l'approbation, je dois sauver Adrien.
La formulation alambiquée, "il n'est pas inéquitable de" utilisée par le juge pour pour sanctionner financièrement les personnes visées par ce blog, sans m'accorder la victoire dans un cas où je dénonce un crime non encore reconnu par la justice, mais  la procédure est maintenant en cours .
Même si je me tais , ma détermination est entière. Nous allons entré dans la trève estivalle, les échéances sont pour septembre, j'espère que le déracinement de mon fils ne le perturbe pas de trop et que la séduction qu'on lui impose ne le marquera pas de trop.